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1964 Maserati Mistral Spyder

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?The 7th of a mere 125 produced
?Delivered new to Switzerland
?Single family ownership since 1971
?Matching chassis and engine
?Fully restored between 1999 and 2010

'We do not suppose there are many cars whose names conjure up an aura of exotic glamour to the same extent as that of Maserati. Even now, many years after the company has withdrawn from any form of competition, past glories linger on.' - Sporting Motorist.

Maserati's survival strategy for the 1960s centred on establishing the company - which hitherto had mainly concentrated on its Grand Prix and sports car racing activities - as a producer of road cars. The Modena marque's new era began in 1957 with the launch at the Geneva Salon of the Touring-bodied 3500GT. A luxury '2+2', the 3500GT drew heavily on Maserati's competition experience, employing a tubular chassis frame and an engine derived from the 350S sports car unit of 1956. Suspension was independent at the front by wishbones and coil springs, while at the back there was a conventional live axle/semi-elliptic arrangement. The 3500GT's designer was none other than Giulio Alfieri, creator of the immortal Tipo 60/61 'Birdcage' sports-racer and the man responsible for developing the 250F into a World Championship winner. The twin-overhead-camshaft, six-cylinder engine was a close relative of that used in the 250F and developed around 220bhp initially, later examples producing 235bhp on Lucas mechanical fuel injection. Built initially with drum brakes and four-speed transmission, the 3500GT was progressively updated, gaining five speeds, front disc brakes and, finally, all-disc braking.

Last of these classic six-cylinder Maseratis, the Pietro Frua-styled Mistral commenced production in 1963. The 3.7-litre version of the Bolognese manufacturer's long-stroke engine was fitted to most cars, other options being the 3.5-litre or, from 1966, the 4.0-litre unit. A handsome two-seater on a shortened, square-tube chassis, the Mistral was built in coupé and spyder versions, the former's opening rear window hatch making it an unusually practical car. A five-speed gearbox, disc brakes and fuel injection were standard equipment; automatic transmission, air conditioning and a limited-slip differential the options. Production ceased in 1970, by which time a total of 828 coupés and 125 spyders had been built.

Only the seventh Mistral Spyder built, chassis '007' is one of only 46 completed with the 3.7-litre engine and was delivered new to Switzerland; remarkably, it has belonged to the same family since 1971. This car left the factory equipped with the often-troublesome Lucas fuel injection, which has been replaced with triple Weber carburettors, a common conversion (the original un-restored injection system is included in the sale).

Following a partial restoration of the coachwork carried out in 1989, the owner decided to commission a total rebuild, which commenced in 1999, though unforeseen circumstances would delay the project's completion until 2010. Works carried out included a complete overhaul of the body, interior, convertible hood, engine, gearbox, rear axle, suspension, and brakes. Described by the vendor as in very good condition, this most handsome soft-top Maserati is offered with Swiss registration papers and all maintenance and restoration records dating back to 1971.

Please note this motor car is subject to the reduced local import tax should it remains in the EU.

Bonhams is the guarantor of the customs duties and taxes clearance: consequently, this motor car cannot be released to the buyer or his transporter immediately after the sale.

Maserati Mistral Spyder 1964
Carrossée par la Carrozzeria Frua
Châssis n° AM109 007

?Le septième sur les seulement 125 exemplaires produits
?Livrée neuve en Suisse
?Propriété de la même famille depuis 1971
?Châssis et moteur concordants
?Entièrement restaurée entre 1999 et 2010

"Nous ne pensons pas qu'il y ait beaucoup de voitures dont le nom évoque un exotisme aussi glamour que celui de Maserati. Aujourd'hui encore, alors que la firme s'est retirée de toute forme de compétition, sa gloire passée demeure." - Sporting Motorist.

La stratégie de survie de la société Maserati pour les années 1960 reposait sur la consolidation de son statut de constructeur de routières, alors qu'elle s'était jusque-là consacrée aux voitures de sport et de Grand Prix. Cette nouvelle ère commença pour la marque de Modène par le lancement lors du Salon de Genève 1957 de sa 3500GT carrossée par Touring. C'était une luxueuse 2+2 dont la conception, fortement appuyée sur l'expérience de Maserati en compétition, faisait appel à un châssis tubulaire et à un moteur dérivé de celui des 350S de sport de 1956. Sa suspension avant à roues indépendantes reposait sur des triangles et des ressorts hélicoïdaux, et son arrière était plus conventionnel, avec un essieu rigide et des ressorts semi-elliptiques. Le concepteur de la 3500GT n'était autre que Giulio Alfieri, le père de l'immortelle Tipo 60/61 'Birdcage' de course et celui qui avait été chargé de mener la 250F à la victoire en Championnat du monde. Son six-cylindres à double arbre à cames en tête était un dérivé proche de celui de la 250F ; il développait d'abord environ 220 chevaux, puis 235 chevaux pour les derniers exemplaires dotés de l'injection mécanique Lucas. La 3500GT avait démarré avec des freins à tambour et une boîte à quatre rapports, mais elle s'était progressivement modernisée et était passée à cinq rapports, puis à des disques avant et enfin à quatre disques.

Dernière de ces Maserati six-cylindres classiques, la Mistral dessinée par Pietro Frua fut produite à partir de 1963. C'est le 3,7 litre à longue course du constructeur bolognais qui fut le plus souvent monté, mais on pouvait aussi l'obtenir avec le 3,5 litres ou, à partir de 1966, le 4,0 litres. La Mistral était une deux places élégante construite sur un châssis raccourci à tubes carrés qui pouvait exister en versions spyder ou coupé, avec pour ce dernier une vitre arrière ouvrante qui jouait le rôle de hayon et lui conférait une praticité inhabituelle. Son équipement de série incluait une boîte cinq rapports, des freins à disque et l'injection d'essence ; on pouvait disposer, en option, d'une boîte automatique, de l'air conditionné et d'un différentiel à glissement limité. Sa production prit fin en 1970, après que 828 coupés et 125 spyders eurent été construits.

Ce châssis 007 n'est que la septième Mistral Spyder construite, et l'un des 46 montés en 3,7 litres. Il a été livré neuf en Suisse. On notera qu'il appartient à la même famille depuis 1971. Cette voiture est sortie d'usine équipée de l'injection d'essence Lucas, souvent source de soucis et qui a été remplacée par des carburateurs triple corps Weber, ce qui était courant (le système d'injection d'origine, non restauré, fait partie de la vente).

Après une restauration partielle de la carrosserie qui eut lieu en 1989, son propriétaire décida de lui offrir une réfection complète, qui débuta en 1999 ; mais des imprévus ont fait que ce projet n'a pas été achevé avant 2010. Les travaux ont porté sur une réfection complète de la caisse, de l'intérieur, de la capote, du moteur, de la boîte de vitesses, de l'essieu arrière, de la suspension et des freins. Ce très élégant cabriolet Maserati est décrit par son vendeur comme étant en très bon état ; il est proposé avec ses documents d'immatriculation suisses et toutes ses archives d'entretien et de restauration depuis 1971.

Veuillez noter que si cette voiture reste dans la Communauté Européenne elle sera soumise à une taxe d'importation au taux réduit de la TVA à l'importation locale.

Bonhams restant le garant des droits et taxes douanières, cette voiture ne pourra donc pas être récupérée par l'acheteur ou son transporteur immédiatement après la vente.

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Estimate
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Time, Location
07 Feb 2019
France, Paris
Auction House
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?The 7th of a mere 125 produced
?Delivered new to Switzerland
?Single family ownership since 1971
?Matching chassis and engine
?Fully restored between 1999 and 2010

'We do not suppose there are many cars whose names conjure up an aura of exotic glamour to the same extent as that of Maserati. Even now, many years after the company has withdrawn from any form of competition, past glories linger on.' - Sporting Motorist.

Maserati's survival strategy for the 1960s centred on establishing the company - which hitherto had mainly concentrated on its Grand Prix and sports car racing activities - as a producer of road cars. The Modena marque's new era began in 1957 with the launch at the Geneva Salon of the Touring-bodied 3500GT. A luxury '2+2', the 3500GT drew heavily on Maserati's competition experience, employing a tubular chassis frame and an engine derived from the 350S sports car unit of 1956. Suspension was independent at the front by wishbones and coil springs, while at the back there was a conventional live axle/semi-elliptic arrangement. The 3500GT's designer was none other than Giulio Alfieri, creator of the immortal Tipo 60/61 'Birdcage' sports-racer and the man responsible for developing the 250F into a World Championship winner. The twin-overhead-camshaft, six-cylinder engine was a close relative of that used in the 250F and developed around 220bhp initially, later examples producing 235bhp on Lucas mechanical fuel injection. Built initially with drum brakes and four-speed transmission, the 3500GT was progressively updated, gaining five speeds, front disc brakes and, finally, all-disc braking.

Last of these classic six-cylinder Maseratis, the Pietro Frua-styled Mistral commenced production in 1963. The 3.7-litre version of the Bolognese manufacturer's long-stroke engine was fitted to most cars, other options being the 3.5-litre or, from 1966, the 4.0-litre unit. A handsome two-seater on a shortened, square-tube chassis, the Mistral was built in coupé and spyder versions, the former's opening rear window hatch making it an unusually practical car. A five-speed gearbox, disc brakes and fuel injection were standard equipment; automatic transmission, air conditioning and a limited-slip differential the options. Production ceased in 1970, by which time a total of 828 coupés and 125 spyders had been built.

Only the seventh Mistral Spyder built, chassis '007' is one of only 46 completed with the 3.7-litre engine and was delivered new to Switzerland; remarkably, it has belonged to the same family since 1971. This car left the factory equipped with the often-troublesome Lucas fuel injection, which has been replaced with triple Weber carburettors, a common conversion (the original un-restored injection system is included in the sale).

Following a partial restoration of the coachwork carried out in 1989, the owner decided to commission a total rebuild, which commenced in 1999, though unforeseen circumstances would delay the project's completion until 2010. Works carried out included a complete overhaul of the body, interior, convertible hood, engine, gearbox, rear axle, suspension, and brakes. Described by the vendor as in very good condition, this most handsome soft-top Maserati is offered with Swiss registration papers and all maintenance and restoration records dating back to 1971.

Please note this motor car is subject to the reduced local import tax should it remains in the EU.

Bonhams is the guarantor of the customs duties and taxes clearance: consequently, this motor car cannot be released to the buyer or his transporter immediately after the sale.

Maserati Mistral Spyder 1964
Carrossée par la Carrozzeria Frua
Châssis n° AM109 007

?Le septième sur les seulement 125 exemplaires produits
?Livrée neuve en Suisse
?Propriété de la même famille depuis 1971
?Châssis et moteur concordants
?Entièrement restaurée entre 1999 et 2010

"Nous ne pensons pas qu'il y ait beaucoup de voitures dont le nom évoque un exotisme aussi glamour que celui de Maserati. Aujourd'hui encore, alors que la firme s'est retirée de toute forme de compétition, sa gloire passée demeure." - Sporting Motorist.

La stratégie de survie de la société Maserati pour les années 1960 reposait sur la consolidation de son statut de constructeur de routières, alors qu'elle s'était jusque-là consacrée aux voitures de sport et de Grand Prix. Cette nouvelle ère commença pour la marque de Modène par le lancement lors du Salon de Genève 1957 de sa 3500GT carrossée par Touring. C'était une luxueuse 2+2 dont la conception, fortement appuyée sur l'expérience de Maserati en compétition, faisait appel à un châssis tubulaire et à un moteur dérivé de celui des 350S de sport de 1956. Sa suspension avant à roues indépendantes reposait sur des triangles et des ressorts hélicoïdaux, et son arrière était plus conventionnel, avec un essieu rigide et des ressorts semi-elliptiques. Le concepteur de la 3500GT n'était autre que Giulio Alfieri, le père de l'immortelle Tipo 60/61 'Birdcage' de course et celui qui avait été chargé de mener la 250F à la victoire en Championnat du monde. Son six-cylindres à double arbre à cames en tête était un dérivé proche de celui de la 250F ; il développait d'abord environ 220 chevaux, puis 235 chevaux pour les derniers exemplaires dotés de l'injection mécanique Lucas. La 3500GT avait démarré avec des freins à tambour et une boîte à quatre rapports, mais elle s'était progressivement modernisée et était passée à cinq rapports, puis à des disques avant et enfin à quatre disques.

Dernière de ces Maserati six-cylindres classiques, la Mistral dessinée par Pietro Frua fut produite à partir de 1963. C'est le 3,7 litre à longue course du constructeur bolognais qui fut le plus souvent monté, mais on pouvait aussi l'obtenir avec le 3,5 litres ou, à partir de 1966, le 4,0 litres. La Mistral était une deux places élégante construite sur un châssis raccourci à tubes carrés qui pouvait exister en versions spyder ou coupé, avec pour ce dernier une vitre arrière ouvrante qui jouait le rôle de hayon et lui conférait une praticité inhabituelle. Son équipement de série incluait une boîte cinq rapports, des freins à disque et l'injection d'essence ; on pouvait disposer, en option, d'une boîte automatique, de l'air conditionné et d'un différentiel à glissement limité. Sa production prit fin en 1970, après que 828 coupés et 125 spyders eurent été construits.

Ce châssis 007 n'est que la septième Mistral Spyder construite, et l'un des 46 montés en 3,7 litres. Il a été livré neuf en Suisse. On notera qu'il appartient à la même famille depuis 1971. Cette voiture est sortie d'usine équipée de l'injection d'essence Lucas, souvent source de soucis et qui a été remplacée par des carburateurs triple corps Weber, ce qui était courant (le système d'injection d'origine, non restauré, fait partie de la vente).

Après une restauration partielle de la carrosserie qui eut lieu en 1989, son propriétaire décida de lui offrir une réfection complète, qui débuta en 1999 ; mais des imprévus ont fait que ce projet n'a pas été achevé avant 2010. Les travaux ont porté sur une réfection complète de la caisse, de l'intérieur, de la capote, du moteur, de la boîte de vitesses, de l'essieu arrière, de la suspension et des freins. Ce très élégant cabriolet Maserati est décrit par son vendeur comme étant en très bon état ; il est proposé avec ses documents d'immatriculation suisses et toutes ses archives d'entretien et de restauration depuis 1971.

Veuillez noter que si cette voiture reste dans la Communauté Européenne elle sera soumise à une taxe d'importation au taux réduit de la TVA à l'importation locale.

Bonhams restant le garant des droits et taxes douanières, cette voiture ne pourra donc pas être récupérée par l'acheteur ou son transporteur immédiatement après la vente.

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Estimate
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Time, Location
07 Feb 2019
France, Paris
Auction House
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