DRAGEOIR COUVERT ET SON DORMANT EN VERMEIL, PAR JEAN-BAPTISTE-CLAUDE ODIOT, PARIS 1801-1809, AUX ARMES DE LOUIS-PHILIPPE, DUC D'ORLÉANS

DRAGEOIR COUVERT ET SON DORMANT EN VERMEIL, PAR JEAN-BAPTISTE-CLAUDE ODIOT, PARIS 1801-1809, AUX ARMES DE LOUIS-PHILIPPE, DUC D'ORLÉANS
Les bordures à moulures de feuilles de laurier ou godrons, orné sous le col de huit rosettes au-dessus d'une frise feuillagée; les anses formées de deux serpents entrelacés; le couvercle surmonté de la prise en forme de dauphin; à l'intérieur, sur le fond, orné d'une large fleur en applique; le dormant uni posant sur quatre pieds griffe.
Aux armes rapportées et vissées de Louis-Philippe, duc d'Orléans, futur roi Louis-Philippe 1er.
Poinçon de l'orfèvre Jean-Baptiste-Claude Odiot, insculpation 1801
Poinçon de titre de Paris 1798-1809
Paris 1801-1809
Sans poinçon d'orfèvre sur le corps
(Manque une partie de la prise du couvercle)
A covered silver-gilt drageoir on stand, by Jean-Baptiste-Claude Odiot, Pairs 1801-1809, withthe arms of Louis-Philippe, duke of Orleans.
HAUT. 19,5 CM - DIAM. DU DRAGEOIR 17 CM - DIAM. DU DORMANT 16,5 CM - POIDS 1,212kg • 7 5/8 - DIAM. DRAGEOIR 6 3/4 - DIAM. STAND 6 1/2 - WEIGHT 42,75 OZ.

€8,000-12,000

Certaines pièces d'époque Empire réalisées par Odiot sont appliquées des mêmes armes de Louis-Philippe, duc d'Orléans; on ne sait pas exactement à quelle date elles ont été acquises par Louis-Philippe, mais d'après les archives de la Maison Odiot, le 11juillet 1817, le duc d'Orléans fait apposer ses armoiries en relief sur cent trente-trois pièces et les fait graver sur deux cent cinq autres.
Sources Anne Dion Tenenbaum "Orfèvrerie française du XIXesiècle la collection du musée du Louvre" éd. Somogy Paris 2011. P.206.
Ce modèle de drageoir était l'un des présents parfois offerts par Napoléon à ses Maréchaux en récompense de leur courage sur les champs de bataille (Sources Odiot)
A rapprocher d'un drageoir en vermeil similaire, reproduit dans l'ouvrage de Jean-Marie Pinçon et Olivier Gaube du Gers " Odiot l'Orfèvre/trois siècles d'Histoire & de Créations " éd. Sous le vent, 1990, p.121.
Pour un modèle similaire appliqué des mêmes armoiries de Louis-Philippe, Duc d'Orléans, vente Sotheby's, Parke Bernet Monaco S.A., 27novembre 1979, lot n°740.

Certaines pièces d'époque Empire réalisées par Odiot sont appliquées des mêmes armes de Louis-Philippe, duc d'Orléans; on ne sait pas exactement à quelle date elles ont été acquises par Louis-Philippe, mais d'après les archives de la Maison Odiot, le 11juillet 1817, le duc d'Orléans fait apposer ses armoiries en relief sur cent trente-trois pièces et les fait graver sur deux cent cinq autres.
Sources Anne Dion Tenenbaum "Orfèvrerie française du XIXesiècle la collection du musée du Louvre" éd. Somogy Paris 2011. P.206.
Ce modèle de drageoir était l'un des présents parfois offerts par Napoléon à ses Maréchaux en récompense de leur courage sur les champs de bataille (Sources Odiot)
A rapprocher d'un drageoir en vermeil similaire, reproduit dans l'ouvrage de Jean-Marie Pinçon et Olivier Gaube du Gers " Odiot l'Orfèvre/trois siècles d'Histoire & de Créations " éd. Sous le vent, 1990, p.121.
Pour un modèle similaire appliqué des mêmes armoiries de Louis-Philippe, Duc d'Orléans, vente Sotheby's, Parke Bernet Monaco S.A., 27novembre 1979, lot n°740.