Henri TOMASI. Manuscrit musical autographe... - Lot 140 - Ader
Henri TOMASI. Manuscrit musical autographe signé, Héraklès à Delphes, 1928 ; cahier de 42 pages in-fol. plus faux-titre et titre.
Scène lyrique pour le concours de composition musicale du Prix de Rome 1928.
Cette scène lyrique, sur un poème de René Puaux (livret imprimé joint), met en scène Héraklès, la Volupté et la Vertu, avec accompagnement de piano. Elle a été jouée à l’Institut le 30 juin 1928, avec l’auteur et Lucette Descaves au piano (programme collé sur la chemise) ; Tomasi a indiqué la distribution sur la page de titre : G. Micheletti (ténor) de l’Opéra-Comique, Mme Cesbron-Viseur, professeur au Conservatoire, et Mme Mathilde Calvet, de l’Opéra-Comique. [C’est Raymond Loucheur qui reçut le premier grand prix ; Tomasi ne fut pas nommé ; il avait été premier second prix en 1927 pour Coriolan.]
Elle commence par une introduction instrumentale Marcato, avant la première scène : « J’entends encor sa voix »…
Le manuscrit, soigneusement noté sur papier à 20 lignes, est daté en fin « Fontainebleau 18 juin 1928 ». Il présente, outre de nombreuses didascalies, des corrections par grattage, ainsi que des indications ajoutées au crayon.
On a collé à la fin une coupure de presse d’un compte rendu de la séance, par André Fijan, très louangeur à l’égard de Tomasi.
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Time, Location
Auction House
Henri TOMASI. Manuscrit musical autographe signé, Héraklès à Delphes, 1928 ; cahier de 42 pages in-fol. plus faux-titre et titre.
Scène lyrique pour le concours de composition musicale du Prix de Rome 1928.
Cette scène lyrique, sur un poème de René Puaux (livret imprimé joint), met en scène Héraklès, la Volupté et la Vertu, avec accompagnement de piano. Elle a été jouée à l’Institut le 30 juin 1928, avec l’auteur et Lucette Descaves au piano (programme collé sur la chemise) ; Tomasi a indiqué la distribution sur la page de titre : G. Micheletti (ténor) de l’Opéra-Comique, Mme Cesbron-Viseur, professeur au Conservatoire, et Mme Mathilde Calvet, de l’Opéra-Comique. [C’est Raymond Loucheur qui reçut le premier grand prix ; Tomasi ne fut pas nommé ; il avait été premier second prix en 1927 pour Coriolan.]
Elle commence par une introduction instrumentale Marcato, avant la première scène : « J’entends encor sa voix »…
Le manuscrit, soigneusement noté sur papier à 20 lignes, est daté en fin « Fontainebleau 18 juin 1928 ». Il présente, outre de nombreuses didascalies, des corrections par grattage, ainsi que des indications ajoutées au crayon.
On a collé à la fin une coupure de presse d’un compte rendu de la séance, par André Fijan, très louangeur à l’égard de Tomasi.
