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LITTÉRATURE. XIXe XXe siècles.

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LITTÉRATURE. XIXe XXe siècles.
Important ensemble d'environ 240 lettres, manuscrits et pièces. Abellio (Raymond). Importante correspondance d'une trentaine de lettres à sa « chère Yvonne », 1948-1965 et s.d. Lettres écrites en exil après la Libération, évoquant sa vie, ses livres, Daumal, Paulhan, Coco Chanel, Spinoza, le bouddhisme, etc.
—About (Edmond). Lettre autographe signée à son « cher Jacquot » [peut-être Jacques Offenbach]. 1859. Recommandation, sur un ton badin, pour faire engager une cantatrice de sa connaissance, mademoiselle Anschutz. — Achard (Marcel). Manuscrit autographe signé d'une de ses chroniques « Le mouvement dramatique », comprenant des pensées sur le théâtre de Jean Cocteau, et une critique la pièce La Vie que je t'ai donnée de Luigi Pirandello.
— Aicard (Jean). Lettre autographe signée au poète Albert Saint-Paul. 1897. Pour le féliciter de l'ouvrage qu'il lui a envoyé.
— Ajalbert (Jean). Lettre autographe signée à un « cher ami ». 1918. Concernant l'envoi d'un texte pour publication en revue, et sur les bombardements allemands ayant amené la fermeture de la Manufacture de Beauvais dont il était administrateur. Sur papier à en-tête de l'Académie Goncourt illustré des profils des frères Goncourt.
— Ajalbert (Jean). Lettre autographe signée au critique d'art Gustave Geffroy. 1923. Concernant ses besoins documentaires pour l'écriture de son livre La Passion de Roland Garros qui paraîtrait en 1926. Sur papier à en-tête illustré des profils des frères Goncourt.
— Arcos (René). Carte autographe signée au poète Albert Saint-Paul. 1908. « ... Je me souviens vous avoir rencontré plusieurs fois chez Mr Gustave Kahn. j'ai gardé la vision très nette de votre sourire et de votre regard si subtilement... disons "mallarméen"... ».
— Audiberti (Jacques). 2 lettres autographes signées à une « mademoiselle Marcelle ». Sur sa pièce Le Mal court (1954) et concernant son adaptation de la pièce Madame Filoumé d'Eduardo de Filippo (1956). — Aveline (Claude). Lettre signée à Robert Laurence. 1973. Concernant une lettre d'Anatole France, l'Égypte, le collectionneur et mécène Yvan Lamberty.
— Banville (Théodore de). 2 lettres autographes signées : à un « cher ami » (1883, « ... Rien ne m'est plus précieux qu'un éloge de vous... »), et à son « cher ami » (s.d., remerciements).
— Bastide (François-Régis). Carte autographe signée à une « chère amie ». 1967. « Désolé... mais je ne travaille à rien du tout, en ce moment. Sec, sec. Zéro. Ce n'est ennuyeux et triste que pour moi. J'aimerais écrire une nouvelle sous ce titre : "L'Oreille absolue". Mais quand ?... ».
— Bataille (Henry). Manuscrit avec une correction autographe, intitulé « Les bulles d'eau », et lettre autographe signée à son « vieux », récriminations contre Réjane et l'administrateur de tournées théâtrales Raphaël Karsenty (s.d.).
— Bauër (Gérard). Lettre signée à Lucien Dumas. 1949. Sur son père Henry Bauër, Louis de Robert, Edmond Rostand et Coquelin.
— Beaucaire (Ange). Manuscrit autographe et manuscrit dactylographié avec ajouts et corrections autographes, passages de son roman policier La Mort cherche un homme paru en 1955, et manuscrit autographe, synopsis commenté d'un projet de pièce intitulée « L'Équipage ».
— Becque (Henry). Billet autographe sur une carte de visite. S.d.
— Bergerat (Émile). Note autographe signée. Réponse à une enquête journalistique : « Ce que les bêtes pensent de la littérature ?... »
— Bibesco (princesse Jeanne). Poème autographe avec envoi autographe signé à Rachilde.
— Bidou (Henry). Lettre autographe signée au directeur de la Revue de Paris, Marcel Thiébaut. 1930. Récriminations.
— Bocquet (Léon). Manuscrit autographe signé intitulé « Rosati et fêtes rosatiques ». Sur la société littéraire des Rosati qui réunit un temps à Fontenay-aux-Roses les écrivains picards et flamands de Paris.
— Bonhomme (Honoré). 3 lettres autographes signées et 2 pièces signées au bibliographe et libraire-éditeur Anatole Claudin. 1862-1877. Au sujet d'un projet de publication à l'initiative d'Anatole Claudin intitulé Bibliophiles français.
— Bouchor (Maurice). Lettre autographe signée à Jean Moréas. 1891. Critique élogieuse et circonstanciée du recueil de son correspondant Le Pèlerin passionné.
— Bourges (Élémir). Lettre autographe signée à l'écrivain Eugène Montfort. « 2 avril ». Remerciements élogieux pour l'envoi du volume de son correspondant, La Beauté moderne. — Brifaut (Charles). 2 poèmes autographes, l'un regrettant un passé où fleurissaient les génies, l'autre moquant la vie parlementaire, et une lettre autographe signée, très spirituelle (1840).
— Caillois (Roger). Lettre autographe signée. 1973. « Je vous envoie... le texte dont vous a parlé M. Maurice Rheims. Je l'ai fait retaper, afin que l'impression en soit facilitée. C'est madame Nicole Fenosa [l'épouse du sculpteur et dessinateur Apeŀles Fenosa] qui m'a conseillé de m'adresser à vous. Je me réjouirai d'apprendre que vous acceptez de vous charger de ce travail... »
— Cary (Joyce). Lettre signée avec apostille autographe au professeur Migeon, en anglais. 1954. Sur ses œuvres, notamment Mister Johnson.
— Char (René). Enveloppe autographe signée à Anne-Marie Char. 1969.
— Coppée (François). Manuscrit autographe signé intitulé « Souvenirs d'enfance d'un Parisien. Maman Nunu ». Texte paru dans le n° 1 du périodique Le Musée de la jeunesse en janvier 1881. — Coppée (François). Une vingtaine de lettres autographes signées à une comtesse. 1870-1871. Très belle correspondance d'amitié amoureuse, dont plusieurs décrivant la tragédie de la Commune de Paris : « ... Je suis absolument ivre de désespoir. Avant-hier soir, du haut de la batterie de Breteuil, j'ai vu brûler notre pauvre cher Paris, auquel ces Caraïbes de la Commune ont systématiquement mis le feu... » (27 mai 1871).
— Coppée (François). Lettre autographe signée au poète Albert Saint-Paul. 1883. « Vous m'avez adressé de très touchants vers et je vous remercie de la sympathique dédicace qui les précède. J'en suis à la fois fier et heureux. Venez me voir – un dimanche matin avant 11 h. – V[ou]s me ferez plaisir... »
— Courteline (Georges Moinaux, dit Georges). 2 billtes autographes signés sur cartes de visite. S.d. « Souvenirs bien affectueux » à une dame et remerciements à un certain Sauvé. — Criel (Gaston). Poème intitulé « Libération ». Paris, 12 mai 1945. Le poète, qui devint secrétaire particulier d'André Gide en 1945, y célèbre sa sortie du stalag où il avait été retenu prisonnier. — Criel (Gaston). Lettre autographe signée. 20 juin 1945. Il évoque André Gide et la littérature des prisonniers.
— Criel (Gaston). Portrait photographique signé au verso.
— Daniel-Rops (Henry Petiot dit). Une lettre et 2 cartes autographes signées. S.d. Critique d'un poème reçu, conseils pour faire éditer un manuscrit, « Échapperons-nous à l'abîme ? Notre sort est entre nos mains... »
— Dekobra (Maurice). Correspondance de 4 lettres autographes signées à Albert Willemetz, dont une avec dessin original d'un cobra. 1931-1933 et s.d. Il évoque la Californie, le Mexique, le lac d'Annecy, une comédie musicale achevée (Maman, marie-toi), son roman Le Sphinx a parlé ou l'adaptation cinématographique de celui-ci, son roman Mon cœur au ralenti et l'adaptation cinématographique de celui.
— Dekobra (Maurice). Lettre autographe avec croquis original (autoportrait), adressée à l'écrivain et directeur de théâtres Albert Willemetz. Hollywood, 1945. Sur Hollywood, sur la fin de la guerre, sur Henri Verneuil et l'actrice Véra Korène, etc.
— Dekobra (Maurice). Lettre autographe signée [au directeur du quotidien Le Journal, Jacques de Marsillac]. « Lundi matin ». Protestation concernant l'emplacement secondaire accordé à la publication de sa série d'articles.
— Dekobra (Maurice). Envoi autographe signé, en anglais, sur un feuillet de faux-titre de son livre Les Tigres parfumés, au directeur du quotidien Le Journal, Jacques de Marsillac : « These tame tigers for you, my dear friend, very sincerely Maur. Dekobra (formerly snake charmer at the Court of Nepal)... »
— Delavigne (Casimir). Lettre autographe signée au comédien Auguste Rosemar. 1831. « Personne, mieux que moi, n'apprécie votre talent, et j'aurais été heureux de vous avoir pour interprète ; mais j'ai disposé du seul rôle qui vous convînt dans ma tragédie [Louis XI, qui serait créée au Théâtre-Français le 11 février 1832]... »
— Delavigne (Casimir). Lettre autographe signée au journaliste Léon Pillet. 1835. « La correspondance dont vous me parlez est dénuée d'intérêt. D'ailleurs je ne crois pas avoir le droit de la publier... »
— Dérieux (Henry). Lettre autographe signée au poète Paul Saint-Paul. 1926. Concernant entre autres les sonnets que son correspondant a publiés dans Le Tombeau de Stéphane Mallarmé.
— Desaugiers (Marc-Antoine). Pièce signée en qualité de directeur du Théâtre du Vaudeville, contresignée par le comédien Jacques-François Delaporte. 1826. Contrat pour un engagement d'un an.
— Donnay (Maurice). Lettre autogaphe signée. S.d. Il évoque les pièces Retour de Jérusalem et L'Heureux accident.
— Dorgelès (Roland). Lettre signée à un « cher Monsieur ». 1953. « Je m'explique maintenant pourquoi vos lettres ne m'étaient pas parvenues. Elle étaient restées chez mon éditeur... a l'ordre de ne jamais faire suivre mon courrier, et j'ai gardé la chambre pendant près de deux mois... »
— Droz (Gustave). Lettre autographe signée. 1876. « ... Je serais désolé que la question d'argent à laquelle j'ai toujours voulu rester étranger modifiât en quoi que ce soit les bons rapports que nous eûmes ensemble... »
— Duhamel (Georges). Carte autographe signée à un scientifique. 1939. Remerciements pour l'envoi d'un livre.
— Dumas fils (Alexandre). Portrait photographique signé (griffe) au recto sur le support. Tirage Pierre Petit à Paris, monté sur grand bristol.
— Dumas fils (Alexandre). Ensemble de 13 cartes et lettres. S.d. « Voici la fin. ne me demandez plus rien. Je suis mort. Mon dernier soupir est pour vous...

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12 Nov 2020
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LITTÉRATURE. XIXe XXe siècles.
Important ensemble d'environ 240 lettres, manuscrits et pièces. Abellio (Raymond). Importante correspondance d'une trentaine de lettres à sa « chère Yvonne », 1948-1965 et s.d. Lettres écrites en exil après la Libération, évoquant sa vie, ses livres, Daumal, Paulhan, Coco Chanel, Spinoza, le bouddhisme, etc.
—About (Edmond). Lettre autographe signée à son « cher Jacquot » [peut-être Jacques Offenbach]. 1859. Recommandation, sur un ton badin, pour faire engager une cantatrice de sa connaissance, mademoiselle Anschutz. — Achard (Marcel). Manuscrit autographe signé d'une de ses chroniques « Le mouvement dramatique », comprenant des pensées sur le théâtre de Jean Cocteau, et une critique la pièce La Vie que je t'ai donnée de Luigi Pirandello.
— Aicard (Jean). Lettre autographe signée au poète Albert Saint-Paul. 1897. Pour le féliciter de l'ouvrage qu'il lui a envoyé.
— Ajalbert (Jean). Lettre autographe signée à un « cher ami ». 1918. Concernant l'envoi d'un texte pour publication en revue, et sur les bombardements allemands ayant amené la fermeture de la Manufacture de Beauvais dont il était administrateur. Sur papier à en-tête de l'Académie Goncourt illustré des profils des frères Goncourt.
— Ajalbert (Jean). Lettre autographe signée au critique d'art Gustave Geffroy. 1923. Concernant ses besoins documentaires pour l'écriture de son livre La Passion de Roland Garros qui paraîtrait en 1926. Sur papier à en-tête illustré des profils des frères Goncourt.
— Arcos (René). Carte autographe signée au poète Albert Saint-Paul. 1908. « ... Je me souviens vous avoir rencontré plusieurs fois chez Mr Gustave Kahn. j'ai gardé la vision très nette de votre sourire et de votre regard si subtilement... disons "mallarméen"... ».
— Audiberti (Jacques). 2 lettres autographes signées à une « mademoiselle Marcelle ». Sur sa pièce Le Mal court (1954) et concernant son adaptation de la pièce Madame Filoumé d'Eduardo de Filippo (1956). — Aveline (Claude). Lettre signée à Robert Laurence. 1973. Concernant une lettre d'Anatole France, l'Égypte, le collectionneur et mécène Yvan Lamberty.
— Banville (Théodore de). 2 lettres autographes signées : à un « cher ami » (1883, « ... Rien ne m'est plus précieux qu'un éloge de vous... »), et à son « cher ami » (s.d., remerciements).
— Bastide (François-Régis). Carte autographe signée à une « chère amie ». 1967. « Désolé... mais je ne travaille à rien du tout, en ce moment. Sec, sec. Zéro. Ce n'est ennuyeux et triste que pour moi. J'aimerais écrire une nouvelle sous ce titre : "L'Oreille absolue". Mais quand ?... ».
— Bataille (Henry). Manuscrit avec une correction autographe, intitulé « Les bulles d'eau », et lettre autographe signée à son « vieux », récriminations contre Réjane et l'administrateur de tournées théâtrales Raphaël Karsenty (s.d.).
— Bauër (Gérard). Lettre signée à Lucien Dumas. 1949. Sur son père Henry Bauër, Louis de Robert, Edmond Rostand et Coquelin.
— Beaucaire (Ange). Manuscrit autographe et manuscrit dactylographié avec ajouts et corrections autographes, passages de son roman policier La Mort cherche un homme paru en 1955, et manuscrit autographe, synopsis commenté d'un projet de pièce intitulée « L'Équipage ».
— Becque (Henry). Billet autographe sur une carte de visite. S.d.
— Bergerat (Émile). Note autographe signée. Réponse à une enquête journalistique : « Ce que les bêtes pensent de la littérature ?... »
— Bibesco (princesse Jeanne). Poème autographe avec envoi autographe signé à Rachilde.
— Bidou (Henry). Lettre autographe signée au directeur de la Revue de Paris, Marcel Thiébaut. 1930. Récriminations.
— Bocquet (Léon). Manuscrit autographe signé intitulé « Rosati et fêtes rosatiques ». Sur la société littéraire des Rosati qui réunit un temps à Fontenay-aux-Roses les écrivains picards et flamands de Paris.
— Bonhomme (Honoré). 3 lettres autographes signées et 2 pièces signées au bibliographe et libraire-éditeur Anatole Claudin. 1862-1877. Au sujet d'un projet de publication à l'initiative d'Anatole Claudin intitulé Bibliophiles français.
— Bouchor (Maurice). Lettre autographe signée à Jean Moréas. 1891. Critique élogieuse et circonstanciée du recueil de son correspondant Le Pèlerin passionné.
— Bourges (Élémir). Lettre autographe signée à l'écrivain Eugène Montfort. « 2 avril ». Remerciements élogieux pour l'envoi du volume de son correspondant, La Beauté moderne. — Brifaut (Charles). 2 poèmes autographes, l'un regrettant un passé où fleurissaient les génies, l'autre moquant la vie parlementaire, et une lettre autographe signée, très spirituelle (1840).
— Caillois (Roger). Lettre autographe signée. 1973. « Je vous envoie... le texte dont vous a parlé M. Maurice Rheims. Je l'ai fait retaper, afin que l'impression en soit facilitée. C'est madame Nicole Fenosa [l'épouse du sculpteur et dessinateur Apeŀles Fenosa] qui m'a conseillé de m'adresser à vous. Je me réjouirai d'apprendre que vous acceptez de vous charger de ce travail... »
— Cary (Joyce). Lettre signée avec apostille autographe au professeur Migeon, en anglais. 1954. Sur ses œuvres, notamment Mister Johnson.
— Char (René). Enveloppe autographe signée à Anne-Marie Char. 1969.
— Coppée (François). Manuscrit autographe signé intitulé « Souvenirs d'enfance d'un Parisien. Maman Nunu ». Texte paru dans le n° 1 du périodique Le Musée de la jeunesse en janvier 1881. — Coppée (François). Une vingtaine de lettres autographes signées à une comtesse. 1870-1871. Très belle correspondance d'amitié amoureuse, dont plusieurs décrivant la tragédie de la Commune de Paris : « ... Je suis absolument ivre de désespoir. Avant-hier soir, du haut de la batterie de Breteuil, j'ai vu brûler notre pauvre cher Paris, auquel ces Caraïbes de la Commune ont systématiquement mis le feu... » (27 mai 1871).
— Coppée (François). Lettre autographe signée au poète Albert Saint-Paul. 1883. « Vous m'avez adressé de très touchants vers et je vous remercie de la sympathique dédicace qui les précède. J'en suis à la fois fier et heureux. Venez me voir – un dimanche matin avant 11 h. – V[ou]s me ferez plaisir... »
— Courteline (Georges Moinaux, dit Georges). 2 billtes autographes signés sur cartes de visite. S.d. « Souvenirs bien affectueux » à une dame et remerciements à un certain Sauvé. — Criel (Gaston). Poème intitulé « Libération ». Paris, 12 mai 1945. Le poète, qui devint secrétaire particulier d'André Gide en 1945, y célèbre sa sortie du stalag où il avait été retenu prisonnier. — Criel (Gaston). Lettre autographe signée. 20 juin 1945. Il évoque André Gide et la littérature des prisonniers.
— Criel (Gaston). Portrait photographique signé au verso.
— Daniel-Rops (Henry Petiot dit). Une lettre et 2 cartes autographes signées. S.d. Critique d'un poème reçu, conseils pour faire éditer un manuscrit, « Échapperons-nous à l'abîme ? Notre sort est entre nos mains... »
— Dekobra (Maurice). Correspondance de 4 lettres autographes signées à Albert Willemetz, dont une avec dessin original d'un cobra. 1931-1933 et s.d. Il évoque la Californie, le Mexique, le lac d'Annecy, une comédie musicale achevée (Maman, marie-toi), son roman Le Sphinx a parlé ou l'adaptation cinématographique de celui-ci, son roman Mon cœur au ralenti et l'adaptation cinématographique de celui.
— Dekobra (Maurice). Lettre autographe avec croquis original (autoportrait), adressée à l'écrivain et directeur de théâtres Albert Willemetz. Hollywood, 1945. Sur Hollywood, sur la fin de la guerre, sur Henri Verneuil et l'actrice Véra Korène, etc.
— Dekobra (Maurice). Lettre autographe signée [au directeur du quotidien Le Journal, Jacques de Marsillac]. « Lundi matin ». Protestation concernant l'emplacement secondaire accordé à la publication de sa série d'articles.
— Dekobra (Maurice). Envoi autographe signé, en anglais, sur un feuillet de faux-titre de son livre Les Tigres parfumés, au directeur du quotidien Le Journal, Jacques de Marsillac : « These tame tigers for you, my dear friend, very sincerely Maur. Dekobra (formerly snake charmer at the Court of Nepal)... »
— Delavigne (Casimir). Lettre autographe signée au comédien Auguste Rosemar. 1831. « Personne, mieux que moi, n'apprécie votre talent, et j'aurais été heureux de vous avoir pour interprète ; mais j'ai disposé du seul rôle qui vous convînt dans ma tragédie [Louis XI, qui serait créée au Théâtre-Français le 11 février 1832]... »
— Delavigne (Casimir). Lettre autographe signée au journaliste Léon Pillet. 1835. « La correspondance dont vous me parlez est dénuée d'intérêt. D'ailleurs je ne crois pas avoir le droit de la publier... »
— Dérieux (Henry). Lettre autographe signée au poète Paul Saint-Paul. 1926. Concernant entre autres les sonnets que son correspondant a publiés dans Le Tombeau de Stéphane Mallarmé.
— Desaugiers (Marc-Antoine). Pièce signée en qualité de directeur du Théâtre du Vaudeville, contresignée par le comédien Jacques-François Delaporte. 1826. Contrat pour un engagement d'un an.
— Donnay (Maurice). Lettre autogaphe signée. S.d. Il évoque les pièces Retour de Jérusalem et L'Heureux accident.
— Dorgelès (Roland). Lettre signée à un « cher Monsieur ». 1953. « Je m'explique maintenant pourquoi vos lettres ne m'étaient pas parvenues. Elle étaient restées chez mon éditeur... a l'ordre de ne jamais faire suivre mon courrier, et j'ai gardé la chambre pendant près de deux mois... »
— Droz (Gustave). Lettre autographe signée. 1876. « ... Je serais désolé que la question d'argent à laquelle j'ai toujours voulu rester étranger modifiât en quoi que ce soit les bons rapports que nous eûmes ensemble... »
— Duhamel (Georges). Carte autographe signée à un scientifique. 1939. Remerciements pour l'envoi d'un livre.
— Dumas fils (Alexandre). Portrait photographique signé (griffe) au recto sur le support. Tirage Pierre Petit à Paris, monté sur grand bristol.
— Dumas fils (Alexandre). Ensemble de 13 cartes et lettres. S.d. « Voici la fin. ne me demandez plus rien. Je suis mort. Mon dernier soupir est pour vous...

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