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LOT 268

1963 Chevrolet Corvette Sting Ray Fuel Injected "Split Window" Coupe

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?327 cid, pushrod overhead valve V-8
?Rochester mechanical fuel injection
?Solid lifter camshaft
?Desirable one-year only production 'split window'
?Desirable Fuelie
?360hp @ 6,000rpm
?4-speed manual transmission
?Coil spring independent suspension
?Transverse leaf spring independent rear suspension
?Four-wheel drum brakes

Zora Arkus-Duntov had a dream of making Corvette a world-class sports car. It was a dream Zora would not see realized until Herb Fishel and the GM Corvette crew made it come true with their overall victory at Daytona and class win at the 24 Hours of Le Mans in 2001.

Zora's 1963 Corvette should have done it. A brilliantly-designed all independently suspended chassis finally caught up with the power of Chevy's small block engine. The Sting Ray's chassis was four inches shorter than the preceding generation but had more interior room than its predecessor. Weight distribution was 48-52%, the reverse of prior Corvettes, and the chassis torsional rigidity of the coupe was 90% better than before.

GM Design Chief Bill Mitchell enlisted Peter Brock and Larry Shinoda to clothe it in a singular and instantly identifiable Sting Ray body. Marked by a strongly accented beltline below gently sweeping fender tops, it had electrically-operated hidden headlights that preserved its sleek aerodynamics.

For the first time in Corvette history the '63 Sting Ray offered a coupe. In profile it sloped smoothly to the tail. From above, however, it displayed the signature feature of the '63 Sting Ray, a tapered, almost boattail, greenhouse with a simple split in the rear window that accentuated its classic lines. It was excitingly styled and aerodynamically effective. Its chassis rigidity was 90% greater than prior Corvettes, contributing to the extraordinary handling of its independent rear suspension.

The attraction of the Split Window Coupe was manifest in its production numbers: 10,594 coupes to 10,919 convertibles, an unexpected demand for the Split Window coupe that continues to the present day. Collectors recognize the uniqueness of the Split Window coupe's design and its one-year availability as well as the spirit and confidence of Chevrolet in continuing to develop and build the low production Corvette.

Split Window values today are regularly 40-50% more than comparable convertibles.
Top of the line in '63 was the L84 Rochester mechanically fuel injected engine, boasting 360 horsepower from Corvette's 327 cubic inch pushrod overhead valve V8 engine. Earlier Corvettes had capitalized on the magic "fuel injected" formula with soft camshaft hydraulic lifter engines. Not so in '63. The only Fuelie was a solid lifter, aggressive camshaft fire-breather that rattled on startup until its clearances shrank when warmed up and loped suggestively at idle, like the thoroughbred it is, tensed at the starting gate for a shot to 60mph which independent testers verified at under 6 seconds.

Even at $430.40 extra '63 Corvette buyers bought 2,610 of the L84s, 12.1% of the total '63 Corvette production, usually with the $180.30 4-speed manual transmission.

Offered here is the near-ultimate spec 1963 Corvette Fuel Injection Sting Ray Split Window coupe, chassis number 30837S111365.

As such, it has the 327/360hp solid lifter L84 engine, M20 4-speed manual transmission, centerlock alloy wheels, signal-seeking WonderBar AM radio and 3.73:1 Posi-Traction differential.

The engine block is stamped with the correct chassis and engine numbers for the 327/360hp configuration with Rochester mechanical fuel injection breathing through a correct Winters "snowflake" intake manifold.

Restored a few years ago in its original Silver Blue Poly with striking Dark Blue upholstery and interior trim, it has been maintained since its acquisition in late 2013 in its British-based collector's stable as an outstanding example of the marque, model, Fuel Injected specifications and the unique, one-year Split Window Corvette coupe body style.

"Icon" is usually an overworked word, but when applied to an L48 327/360hp Fuelie Corvette Sting Ray Split Window Coupe it is entirely appropriate, embodying the confidence and flair of the Sixties with instantly recognized style, design and performance.

Chevrolet Corvette Sting Ray « Split Window » coupé 1963
Châssis N° 30837S111365
Moteur N° 3111365 F0305RF

?V8 culbuté à soupapes en tête, 327 cid (5 358 cm3)
?Injection mécanique Rochester
?arbre à cames à culbuteurs
?Rare et recherché modèle « Fuelie »
?360 ch à 6 000 tr/min
?Transmission manuelle à 4 rapports
?Suspension indépendante à ressorts hélicoïdaux
?Suspension arrière indépendante à ressort à lames transversal
?Freins à tambour aux quatre roues

Zora Arkus-Duntov rêvait de faire de la Corvette une sportive de classe internationale. C'est un rêve que Zora ne verrait pas se réaliser avant que Herb Fishel et l'équipe GM de la Corvette le transforment en réalité avec la victoire au classement général à Daytona et leur victoire de classe aux 24 Heures du Mans en 2001. La Corvette 1963 de Zora aurait dû le faire. Magnifiquement dessinée, sa suspension indépendante aux quatre roues était enfin adaptée à la puissance du « small block » Chevrolet. Le châssis de la Sting Ray était 10 cm plus court que celui de la précédente génération, mais offrait une meilleure habitabilité que ses devancières. La répartition du poids était de 48-52%, l'inverse des précédentes Corvettes et la rigidité torsionnelle du châssis du coupé était 90% supérieure.

Le directeur du style GM, Bill Mitchell, avait engagé Peter Brock et Larry Shinoda pour l'habiller d'une carrosserie Sting Ray spécifique et immédiatement reconnaissable. Avec une ceinture de caisse profondément marquée sous les ailes joliment courbées, elle avait des phares escamotables actionnés électriquement qui préservait ses qualités aérodynamiques.

Pour la première fois dans l'histoire de la Corvette, la Sting Ray de 1963 proposait une version coupé. De profil, son toit descendait lentement jusqu'à l'arrière. Vue de dessus, elle montrait un trait qui lui était propre, un habitacle fuselé en forme de coque de bateau avec une lunette arrière en deux parties qui accentuait ses lignes classiques. C'était un dessin séduisant et aérodynamiquement efficace. La rigidité du châssis était 90% supérieure à celle des précédentes Corvettes, contribuant à l'extraordinaire tenue de route apportée par sa suspension arrière indépendante.

Les chiffres montrent l'attrait pour le coupé avec sa lunette en deux parties (« split window ») avec une production de 10 594 coupés et 10 919 cabriolets, une demande inattendue pour la première Corvette coupé, la « split window », qui se prolonge encore aujourd'hui. Les collectionneurs saluent l'exclusivité du style du coupé « split window » et sa rareté, due au fait qu'il ne connut qu'un millésime, autant que la constance de Chevrolet à continuer de développer et construire la Corvette en petite série.

La valeur des « Split Window » aujourd'hui est régulièrement 40 à 50% plus élevée que celle des cabriolets comparables.

Le haut de gamme en 1963 était le moteur L84 à injection mécanique Rochester tirant 360 ch du V8 culbuté à soupapes en tête de 327 cubic inch de la Corvette. Les précédentes Corvettes avait capitalisé sur la formule magique « injection » avec des arbres à cames à poussoirs hydrauliques. Pas le modèle 1963. Il faisait appel à des culbuteurs avec un arbre à cames agressives qui claquait à froid jusqu'à ce qu'il atteigne la bonne température pour la tolérance des culbuteurs et se mette à ronronner au ralenti, comme le pur-sang qu'il était, tendu sur la grille de départ pour un 0 à 100 km/h que les essayeurs indépendants faisaient descendre sous les 6 secondes.

Malgré un surcoût de 430,40 $, les clients de Corvette 1963 achetèrent 2 610 L84, soit 12,1% de la production totale de la Corvette 1963, en principe équipée de la transmission manuelle à 4 rapports facturée, elle, 180,30 $.

Il s'agit d'un coupé Corvette Sting Ray « split window » de 1963 à injection, numéro de châssis 30837S111365, dans sa configuration ultime.

Il est donc doté du moteur à culbuteurs L84 327/360 ch, de la transmission manuelle à 4 rapports M20, des roues en alliage à blocage central, d'une radio AM à chercheur de fréquence et du différentiel Posi-Traction 3,73:1.

Le bloc moteur est estampillé des numéros de châssis et de moteur conformes à la configuration du 327/360 ch à injection mécanique Rochester alimentée en air par un collecteur d'admission Winters « snowflake » (un flocon est gravé dans la fonte).

Restaurée il y a quelques années dans sa couleur bleu argent Poly d'origine avec une étonnante sellerie et garniture intérieure bleu foncé, elle a été préservée depuis son acquisition fin 2013, dans les remises du collectionneur basé en Grande-Bretagne, comme un exemplaire exceptionnel de la marque, avec les caractéristiques du modèle Fuel Injected et le style de carrosserie coupé « split window » de l'unique millésime de la Corvette.

Le mot icône est généralement galvaudé, mais lorsqu'il s'applique à un coupé Corvette Sting Ray « split window » avec moteur à injection L48 327/360 ch il est parfaitement justifié, incarnant par son design et ses performances la confiance et le talent des années soixante avec leur style instantanément reconnaissable.

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Estimate
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Time, Location
07 Feb 2019
France, Paris
Auction House
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?327 cid, pushrod overhead valve V-8
?Rochester mechanical fuel injection
?Solid lifter camshaft
?Desirable one-year only production 'split window'
?Desirable Fuelie
?360hp @ 6,000rpm
?4-speed manual transmission
?Coil spring independent suspension
?Transverse leaf spring independent rear suspension
?Four-wheel drum brakes

Zora Arkus-Duntov had a dream of making Corvette a world-class sports car. It was a dream Zora would not see realized until Herb Fishel and the GM Corvette crew made it come true with their overall victory at Daytona and class win at the 24 Hours of Le Mans in 2001.

Zora's 1963 Corvette should have done it. A brilliantly-designed all independently suspended chassis finally caught up with the power of Chevy's small block engine. The Sting Ray's chassis was four inches shorter than the preceding generation but had more interior room than its predecessor. Weight distribution was 48-52%, the reverse of prior Corvettes, and the chassis torsional rigidity of the coupe was 90% better than before.

GM Design Chief Bill Mitchell enlisted Peter Brock and Larry Shinoda to clothe it in a singular and instantly identifiable Sting Ray body. Marked by a strongly accented beltline below gently sweeping fender tops, it had electrically-operated hidden headlights that preserved its sleek aerodynamics.

For the first time in Corvette history the '63 Sting Ray offered a coupe. In profile it sloped smoothly to the tail. From above, however, it displayed the signature feature of the '63 Sting Ray, a tapered, almost boattail, greenhouse with a simple split in the rear window that accentuated its classic lines. It was excitingly styled and aerodynamically effective. Its chassis rigidity was 90% greater than prior Corvettes, contributing to the extraordinary handling of its independent rear suspension.

The attraction of the Split Window Coupe was manifest in its production numbers: 10,594 coupes to 10,919 convertibles, an unexpected demand for the Split Window coupe that continues to the present day. Collectors recognize the uniqueness of the Split Window coupe's design and its one-year availability as well as the spirit and confidence of Chevrolet in continuing to develop and build the low production Corvette.

Split Window values today are regularly 40-50% more than comparable convertibles.
Top of the line in '63 was the L84 Rochester mechanically fuel injected engine, boasting 360 horsepower from Corvette's 327 cubic inch pushrod overhead valve V8 engine. Earlier Corvettes had capitalized on the magic "fuel injected" formula with soft camshaft hydraulic lifter engines. Not so in '63. The only Fuelie was a solid lifter, aggressive camshaft fire-breather that rattled on startup until its clearances shrank when warmed up and loped suggestively at idle, like the thoroughbred it is, tensed at the starting gate for a shot to 60mph which independent testers verified at under 6 seconds.

Even at $430.40 extra '63 Corvette buyers bought 2,610 of the L84s, 12.1% of the total '63 Corvette production, usually with the $180.30 4-speed manual transmission.

Offered here is the near-ultimate spec 1963 Corvette Fuel Injection Sting Ray Split Window coupe, chassis number 30837S111365.

As such, it has the 327/360hp solid lifter L84 engine, M20 4-speed manual transmission, centerlock alloy wheels, signal-seeking WonderBar AM radio and 3.73:1 Posi-Traction differential.

The engine block is stamped with the correct chassis and engine numbers for the 327/360hp configuration with Rochester mechanical fuel injection breathing through a correct Winters "snowflake" intake manifold.

Restored a few years ago in its original Silver Blue Poly with striking Dark Blue upholstery and interior trim, it has been maintained since its acquisition in late 2013 in its British-based collector's stable as an outstanding example of the marque, model, Fuel Injected specifications and the unique, one-year Split Window Corvette coupe body style.

"Icon" is usually an overworked word, but when applied to an L48 327/360hp Fuelie Corvette Sting Ray Split Window Coupe it is entirely appropriate, embodying the confidence and flair of the Sixties with instantly recognized style, design and performance.

Chevrolet Corvette Sting Ray « Split Window » coupé 1963
Châssis N° 30837S111365
Moteur N° 3111365 F0305RF

?V8 culbuté à soupapes en tête, 327 cid (5 358 cm3)
?Injection mécanique Rochester
?arbre à cames à culbuteurs
?Rare et recherché modèle « Fuelie »
?360 ch à 6 000 tr/min
?Transmission manuelle à 4 rapports
?Suspension indépendante à ressorts hélicoïdaux
?Suspension arrière indépendante à ressort à lames transversal
?Freins à tambour aux quatre roues

Zora Arkus-Duntov rêvait de faire de la Corvette une sportive de classe internationale. C'est un rêve que Zora ne verrait pas se réaliser avant que Herb Fishel et l'équipe GM de la Corvette le transforment en réalité avec la victoire au classement général à Daytona et leur victoire de classe aux 24 Heures du Mans en 2001. La Corvette 1963 de Zora aurait dû le faire. Magnifiquement dessinée, sa suspension indépendante aux quatre roues était enfin adaptée à la puissance du « small block » Chevrolet. Le châssis de la Sting Ray était 10 cm plus court que celui de la précédente génération, mais offrait une meilleure habitabilité que ses devancières. La répartition du poids était de 48-52%, l'inverse des précédentes Corvettes et la rigidité torsionnelle du châssis du coupé était 90% supérieure.

Le directeur du style GM, Bill Mitchell, avait engagé Peter Brock et Larry Shinoda pour l'habiller d'une carrosserie Sting Ray spécifique et immédiatement reconnaissable. Avec une ceinture de caisse profondément marquée sous les ailes joliment courbées, elle avait des phares escamotables actionnés électriquement qui préservait ses qualités aérodynamiques.

Pour la première fois dans l'histoire de la Corvette, la Sting Ray de 1963 proposait une version coupé. De profil, son toit descendait lentement jusqu'à l'arrière. Vue de dessus, elle montrait un trait qui lui était propre, un habitacle fuselé en forme de coque de bateau avec une lunette arrière en deux parties qui accentuait ses lignes classiques. C'était un dessin séduisant et aérodynamiquement efficace. La rigidité du châssis était 90% supérieure à celle des précédentes Corvettes, contribuant à l'extraordinaire tenue de route apportée par sa suspension arrière indépendante.

Les chiffres montrent l'attrait pour le coupé avec sa lunette en deux parties (« split window ») avec une production de 10 594 coupés et 10 919 cabriolets, une demande inattendue pour la première Corvette coupé, la « split window », qui se prolonge encore aujourd'hui. Les collectionneurs saluent l'exclusivité du style du coupé « split window » et sa rareté, due au fait qu'il ne connut qu'un millésime, autant que la constance de Chevrolet à continuer de développer et construire la Corvette en petite série.

La valeur des « Split Window » aujourd'hui est régulièrement 40 à 50% plus élevée que celle des cabriolets comparables.

Le haut de gamme en 1963 était le moteur L84 à injection mécanique Rochester tirant 360 ch du V8 culbuté à soupapes en tête de 327 cubic inch de la Corvette. Les précédentes Corvettes avait capitalisé sur la formule magique « injection » avec des arbres à cames à poussoirs hydrauliques. Pas le modèle 1963. Il faisait appel à des culbuteurs avec un arbre à cames agressives qui claquait à froid jusqu'à ce qu'il atteigne la bonne température pour la tolérance des culbuteurs et se mette à ronronner au ralenti, comme le pur-sang qu'il était, tendu sur la grille de départ pour un 0 à 100 km/h que les essayeurs indépendants faisaient descendre sous les 6 secondes.

Malgré un surcoût de 430,40 $, les clients de Corvette 1963 achetèrent 2 610 L84, soit 12,1% de la production totale de la Corvette 1963, en principe équipée de la transmission manuelle à 4 rapports facturée, elle, 180,30 $.

Il s'agit d'un coupé Corvette Sting Ray « split window » de 1963 à injection, numéro de châssis 30837S111365, dans sa configuration ultime.

Il est donc doté du moteur à culbuteurs L84 327/360 ch, de la transmission manuelle à 4 rapports M20, des roues en alliage à blocage central, d'une radio AM à chercheur de fréquence et du différentiel Posi-Traction 3,73:1.

Le bloc moteur est estampillé des numéros de châssis et de moteur conformes à la configuration du 327/360 ch à injection mécanique Rochester alimentée en air par un collecteur d'admission Winters « snowflake » (un flocon est gravé dans la fonte).

Restaurée il y a quelques années dans sa couleur bleu argent Poly d'origine avec une étonnante sellerie et garniture intérieure bleu foncé, elle a été préservée depuis son acquisition fin 2013, dans les remises du collectionneur basé en Grande-Bretagne, comme un exemplaire exceptionnel de la marque, avec les caractéristiques du modèle Fuel Injected et le style de carrosserie coupé « split window » de l'unique millésime de la Corvette.

Le mot icône est généralement galvaudé, mais lorsqu'il s'applique à un coupé Corvette Sting Ray « split window » avec moteur à injection L48 327/360 ch il est parfaitement justifié, incarnant par son design et ses performances la confiance et le talent des années soixante avec leur style instantanément reconnaissable.

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Time, Location
07 Feb 2019
France, Paris
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