ATTRIBUE A JACQUES DE LAJOÜE (PARIS, 1686/1687-1761)
ATTRIBUE A JACQUES DE LAJOÜE (PARIS, 1686/1687-1761)
LA COMEDIE DES AMOURS
Toile
Porte une signature en bas au centre : L(...)OUE
Au revers, sur le châssis, ancienne étiquette de vente : lot 93 - Le Théâtre
32 X 39,5 CM
€1,500-2,000
Bibliographie :
Marie-Louise Bataille, "Lajoüe", in Louis Dimier, Les peintres français du XVIIIe siècle, G. van Oest, Paris-Bruxelles, 1930, vol.II, p. 360, n°1 (comme Pièce rejetée) ; Marianne Roland-Michel, Lajoüe et l'art rocaille, Arthéna, Neuilly-sur-Seine, 1984, pp. 239-240, cat. P.272, repr. fig.188 (comme Lajoüe).
Provenance :
Collection F. de Villars;
Sa vente, Paris, Hôtel Drouot, 13 mars 1868, (Me Pillet), vendu 420 frs avec son pendant ;
Probablement collection M.F.T. Kunkelmann.
Œuvre en rapport :
Son pendant : Jacques de Lajoue, Le triomphe d’Arlequin, toile, 31 x 39 cm, signée en bas au centre Lajoue (Vente anonyme du 9 juillet 1989, Londres (Sotheby’s), lot 209.
Publié par Marianne Roland-Michel bien qu’elle ne l’ait jamais vu, notre tableau, ainsi que son pendant, sont de parfaits exemples de ce style ornemental dans lequel Lajoue excellait. Projet de décor ou modèle de rideau de scène, cette composition exécutée d’une main rapide illustre cette notion de caprice propre au rocaille, tout en reprenant le thème des comédies enfantines en vogue au milieu du XVIIIe siècle, popularisé par des gravures telles que La Cause Badine, d’après Watteau.
Bibliographie :
Marie-Louise Bataille, "Lajoüe", in Louis Dimier, Les peintres français du XVIIIe siècle, G. van Oest, Paris-Bruxelles, 1930, vol.II, p. 360, n°1 (comme Pièce rejetée) ; Marianne Roland-Michel, Lajoüe et l'art rocaille, Arthéna, Neuilly-sur-Seine, 1984, pp. 239-240, cat. P.272, repr. fig.188 (comme Lajoüe).
Provenance :
Collection F. de Villars;
Sa vente, Paris, Hôtel Drouot, 13 mars 1868, (Me Pillet), vendu 420 frs avec son pendant ;
Probablement collection M.F.T. Kunkelmann.
Œuvre en rapport :
Son pendant : Jacques de Lajoue, Le triomphe d’Arlequin, toile, 31 x 39 cm, signée en bas au centre Lajoue (Vente anonyme du 9 juillet 1989, Londres (Sotheby’s), lot 209.
Publié par Marianne Roland-Michel bien qu’elle ne l’ait jamais vu, notre tableau, ainsi que son pendant, sont de parfaits exemples de ce style ornemental dans lequel Lajoue excellait. Projet de décor ou modèle de rideau de scène, cette composition exécutée d’une main rapide illustre cette notion de caprice propre au rocaille, tout en reprenant le thème des comédies enfantines en vogue au milieu du XVIIIe siècle, popularisé par des gravures telles que La Cause Badine, d’après Watteau.
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ATTRIBUE A JACQUES DE LAJOÜE (PARIS, 1686/1687-1761)
LA COMEDIE DES AMOURS
Toile
Porte une signature en bas au centre : L(...)OUE
Au revers, sur le châssis, ancienne étiquette de vente : lot 93 - Le Théâtre
32 X 39,5 CM
€1,500-2,000
Bibliographie :
Marie-Louise Bataille, "Lajoüe", in Louis Dimier, Les peintres français du XVIIIe siècle, G. van Oest, Paris-Bruxelles, 1930, vol.II, p. 360, n°1 (comme Pièce rejetée) ; Marianne Roland-Michel, Lajoüe et l'art rocaille, Arthéna, Neuilly-sur-Seine, 1984, pp. 239-240, cat. P.272, repr. fig.188 (comme Lajoüe).
Provenance :
Collection F. de Villars;
Sa vente, Paris, Hôtel Drouot, 13 mars 1868, (Me Pillet), vendu 420 frs avec son pendant ;
Probablement collection M.F.T. Kunkelmann.
Œuvre en rapport :
Son pendant : Jacques de Lajoue, Le triomphe d’Arlequin, toile, 31 x 39 cm, signée en bas au centre Lajoue (Vente anonyme du 9 juillet 1989, Londres (Sotheby’s), lot 209.
Publié par Marianne Roland-Michel bien qu’elle ne l’ait jamais vu, notre tableau, ainsi que son pendant, sont de parfaits exemples de ce style ornemental dans lequel Lajoue excellait. Projet de décor ou modèle de rideau de scène, cette composition exécutée d’une main rapide illustre cette notion de caprice propre au rocaille, tout en reprenant le thème des comédies enfantines en vogue au milieu du XVIIIe siècle, popularisé par des gravures telles que La Cause Badine, d’après Watteau.
Bibliographie :
Marie-Louise Bataille, "Lajoüe", in Louis Dimier, Les peintres français du XVIIIe siècle, G. van Oest, Paris-Bruxelles, 1930, vol.II, p. 360, n°1 (comme Pièce rejetée) ; Marianne Roland-Michel, Lajoüe et l'art rocaille, Arthéna, Neuilly-sur-Seine, 1984, pp. 239-240, cat. P.272, repr. fig.188 (comme Lajoüe).
Provenance :
Collection F. de Villars;
Sa vente, Paris, Hôtel Drouot, 13 mars 1868, (Me Pillet), vendu 420 frs avec son pendant ;
Probablement collection M.F.T. Kunkelmann.
Œuvre en rapport :
Son pendant : Jacques de Lajoue, Le triomphe d’Arlequin, toile, 31 x 39 cm, signée en bas au centre Lajoue (Vente anonyme du 9 juillet 1989, Londres (Sotheby’s), lot 209.
Publié par Marianne Roland-Michel bien qu’elle ne l’ait jamais vu, notre tableau, ainsi que son pendant, sont de parfaits exemples de ce style ornemental dans lequel Lajoue excellait. Projet de décor ou modèle de rideau de scène, cette composition exécutée d’une main rapide illustre cette notion de caprice propre au rocaille, tout en reprenant le thème des comédies enfantines en vogue au milieu du XVIIIe siècle, popularisé par des gravures telles que La Cause Badine, d’après Watteau.