Albert SCHWEITZER (1875 1965) médecin, organiste e…
Albert SCHWEITZER (1875-1965) médecin, organiste et écrivain. L.A.S. à la suite d’une L.A.S. écrite en son nom par Mathilde Kottmann, Lambaréné (Gabon) 28 novembre 1953, à M. Lemaire, secrétaire de rédaction de la Revue internationale de psycho-pédagogie, à Bruxelles ; 1 page in-4 dont 9 lignes de la main de Schweitzer, en-tête cachet encre Hôpital du Dr Schweitzer (bord effrangé, un coin manquant sans perte de texte, bas renforcé au scotch).
Mlle Kottmann exprime les regrets du Dr Schweitzer, de ne pouvoir participer à la Revue : « Il mène une vie très dure et sans repos. Occupé actuellement à la construction d’un village pour malades lépreux, il ne lui reste que les heures de nuit pour traiter des affaires de l’hôpital. Et pour terminer ses manuscrits de théologie et philosophie »… Schweitzer prend la plume pour ajouter : « Je dois rester absolument concentré sur mes travaux en cours, que je voudrais mener à bonne fin dans les heures de nuit, étant occupé durant la journée dans mon hôpital. J’ai donc dû renoncer depuis longtemps à écrire sur d’autres sujets. Celui que j’aurais eu à traiter dans votre revue m’aurait bien tenté. […] Je me traîne dans la fatigue de jour en jour »…
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Albert SCHWEITZER (1875-1965) médecin, organiste et écrivain. L.A.S. à la suite d’une L.A.S. écrite en son nom par Mathilde Kottmann, Lambaréné (Gabon) 28 novembre 1953, à M. Lemaire, secrétaire de rédaction de la Revue internationale de psycho-pédagogie, à Bruxelles ; 1 page in-4 dont 9 lignes de la main de Schweitzer, en-tête cachet encre Hôpital du Dr Schweitzer (bord effrangé, un coin manquant sans perte de texte, bas renforcé au scotch).
Mlle Kottmann exprime les regrets du Dr Schweitzer, de ne pouvoir participer à la Revue : « Il mène une vie très dure et sans repos. Occupé actuellement à la construction d’un village pour malades lépreux, il ne lui reste que les heures de nuit pour traiter des affaires de l’hôpital. Et pour terminer ses manuscrits de théologie et philosophie »… Schweitzer prend la plume pour ajouter : « Je dois rester absolument concentré sur mes travaux en cours, que je voudrais mener à bonne fin dans les heures de nuit, étant occupé durant la journée dans mon hôpital. J’ai donc dû renoncer depuis longtemps à écrire sur d’autres sujets. Celui que j’aurais eu à traiter dans votre revue m’aurait bien tenté. […] Je me traîne dans la fatigue de jour en jour »…