BARBEY D’AUREVILLY, Jules (1808-1889). A Madame Judith Gautier. Poème autographe signé. [Avec :] lettre autographe signée du même à la même, à propos de ce poème. S.l., « mercredi » (avril 1885).
BARBEY D’AUREVILLY, Jules (1808-1889). A Madame Judith Gautier. Poème autographe signé. [Avec :] lettre autographe signée du même à la même, à propos de ce poème. S.l., « mercredi » (avril 1885).
1 p. pour chaque pièce : poème : (250 x 203 mm) ; lettre (204 x 125 mm), à l’encre rouge, sur son papier à devise « Never More ». Au verso du poème, on peut lire les mots « entre nous », écrits de la même encre par Barbey. Avec enveloppes.
Amusant ensemble de manuscrits adressés à Judith Gautier. Pris de regrets après avoir envoyé un poème contenant « une faute de quantité », Barbey l’adresse à nouveau à sa destinataire, avec les corrections qui s’imposent : « Henri VIII aimait peut-être les six doigts d’Anne de Boleyne, mais vous, la fille d’un grand poëte, vous ne pouvez pas aimer mes pauvres petits versiculets avec un pied de trop, et voilà pourquoi je les ai corrigés, comme s’ils en valaient la peine ! ». Judith Gautier (1845-1917) était la fille de Théophile Gautier.
A curious set of manuscripts from Barbey d'Aurevilly to Judith Gautier.
View it on
Sale price
Estimate
Time, Location
Auction House
BARBEY D’AUREVILLY, Jules (1808-1889). A Madame Judith Gautier. Poème autographe signé. [Avec :] lettre autographe signée du même à la même, à propos de ce poème. S.l., « mercredi » (avril 1885).
1 p. pour chaque pièce : poème : (250 x 203 mm) ; lettre (204 x 125 mm), à l’encre rouge, sur son papier à devise « Never More ». Au verso du poème, on peut lire les mots « entre nous », écrits de la même encre par Barbey. Avec enveloppes.
Amusant ensemble de manuscrits adressés à Judith Gautier. Pris de regrets après avoir envoyé un poème contenant « une faute de quantité », Barbey l’adresse à nouveau à sa destinataire, avec les corrections qui s’imposent : « Henri VIII aimait peut-être les six doigts d’Anne de Boleyne, mais vous, la fille d’un grand poëte, vous ne pouvez pas aimer mes pauvres petits versiculets avec un pied de trop, et voilà pourquoi je les ai corrigés, comme s’ils en valaient la peine ! ». Judith Gautier (1845-1917) était la fille de Théophile Gautier.
A curious set of manuscripts from Barbey d'Aurevilly to Judith Gautier.