CAREL VAN FALENS ANVERS, 1683 - 1733, PARIS
CAREL VAN FALENS ANVERS, 1683 - 1733, PARIS
Départ de chasse
Huile sur toile
48 x 61 cm
Au XVIIe siècle, les thèmes cavaliers se multiplient dans les écoles du Nord. Certains peintres, à l'instar de Philips Wouwerman (1619 - 1668), Simon van Douw (1630-1677) ou Carel van Falens se spécialisent dans la représentation de ces «Départ de chasse, «Retour de chasse», «Halte de cavaliers» (...). Prétextes à des représentations de chevaux qui sont leurs sujets de prédilection, ils ponctuent dans le même temps leurs compositions de petits événements du quotidien.
Dans notre composition, l'on se plaît ainsi à observer çà et là une conversation galante, des chiens jouant, un cavalier harnachant sa monture, une marchande de quelques denrées à emporter pour la journée... Dynamisant ainsi la scène, c'est également l'occasion pour le peintre d'exploiter judicieusement le motif du cheval qu'il décline sous tous ses angles. De manière assez classique, il place un cheval blanc au centre, apportant de la luminosité à la composition. Baignant la scène d'une luminosité uniforme, il rehausse sa palette terreuse par des nuances de couleurs vives qui égaie l'ensemble
View it on
Estimate
Time, Location
Auction House
CAREL VAN FALENS ANVERS, 1683 - 1733, PARIS
Départ de chasse
Huile sur toile
48 x 61 cm
Au XVIIe siècle, les thèmes cavaliers se multiplient dans les écoles du Nord. Certains peintres, à l'instar de Philips Wouwerman (1619 - 1668), Simon van Douw (1630-1677) ou Carel van Falens se spécialisent dans la représentation de ces «Départ de chasse, «Retour de chasse», «Halte de cavaliers» (...). Prétextes à des représentations de chevaux qui sont leurs sujets de prédilection, ils ponctuent dans le même temps leurs compositions de petits événements du quotidien.
Dans notre composition, l'on se plaît ainsi à observer çà et là une conversation galante, des chiens jouant, un cavalier harnachant sa monture, une marchande de quelques denrées à emporter pour la journée... Dynamisant ainsi la scène, c'est également l'occasion pour le peintre d'exploiter judicieusement le motif du cheval qu'il décline sous tous ses angles. De manière assez classique, il place un cheval blanc au centre, apportant de la luminosité à la composition. Baignant la scène d'une luminosité uniforme, il rehausse sa palette terreuse par des nuances de couleurs vives qui égaie l'ensemble