CHAUSENQUE (Vincent de) Les Pyrénées ou voyages... - Lot 290 - Briscadieu
CHAUSENQUE (Vincent de) Les Pyrénées ou voyages pédestres dans toutes les régions de ces montagnes depuis l'Océan jusqu'à la Méditerranée, avec une carte et quelques vues des Pyrénées. 2ème édition corrigée et augmentée. Agen, Noubel, 1854. 2 tomes en un volume petit in-8 : 2f., 574pp., 1f. (errata) / 2f., 348pp., 2f. (légende, errata) ; 3 panoramas et une carte dépliante. Ajoutés libres dans l'ouvrage, la même carte in fine du tome 1 ainsi qu'une planche à double page de la brèche de Roland par SHRADER. La page de garde porte la signature d'Henry Russell suivie de la mention manuscrite "Pau" et de la grande arabesque que l'on trouve souvent à la fin des dédicaces de Russell. Au-dessous, une mention "Offert par Mr le comte H. Russell à Mr. Meys le 27 septembre 1897". Nombreuses marques au crayon dans les marges. ½ chagrin brun de l'époque, titres, filets et fers dorés sur dos à nerfs éclaircis. Édition définitive et seconde édition considérablement augmentée. "Chausenque, ici... rajoute 400 (pages) de morceaux rapportés, qui s'appliquent presque tous aux Hautes Pyrénées... un véritable corpus Juris, qu'on ne peut plus lire d'affilée. Beaucoup de lecteurs même renoncent tout à fait. Ils ont tort, les bons morceaux y abondent. CHAUSENQUE (1782-1868) est né et mort à Gontaud. Il découvre les Pyrénées à 11 ans mais c'est en 1804, comme officier topographe, qu'il arrive à Bayonne. Il effectue durant son service plusieurs missions dans les hautes Pyrénées avant de démissionner en 1808. Il visite les Alpes en 1811. On perd un peu sa trace jusqu'en 1822, date à laquelle débute la grande période des ascensions pyrénéennes. Il grimpe au Pic du Midi de Bigorre avec La BOULINIÈRE, rencontre RAMOND aux cascades d'Escoubous, ascensionne le Canigou avec ARBANÈRE ou encore le Montcalm avec G. de Luppé. Hanté par le Néouvielle, il retente à 65 ans l'ascension de ce sommet dont il fait la conquête en 1847.
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CHAUSENQUE (Vincent de) Les Pyrénées ou voyages pédestres dans toutes les régions de ces montagnes depuis l'Océan jusqu'à la Méditerranée, avec une carte et quelques vues des Pyrénées. 2ème édition corrigée et augmentée. Agen, Noubel, 1854. 2 tomes en un volume petit in-8 : 2f., 574pp., 1f. (errata) / 2f., 348pp., 2f. (légende, errata) ; 3 panoramas et une carte dépliante. Ajoutés libres dans l'ouvrage, la même carte in fine du tome 1 ainsi qu'une planche à double page de la brèche de Roland par SHRADER. La page de garde porte la signature d'Henry Russell suivie de la mention manuscrite "Pau" et de la grande arabesque que l'on trouve souvent à la fin des dédicaces de Russell. Au-dessous, une mention "Offert par Mr le comte H. Russell à Mr. Meys le 27 septembre 1897". Nombreuses marques au crayon dans les marges. ½ chagrin brun de l'époque, titres, filets et fers dorés sur dos à nerfs éclaircis. Édition définitive et seconde édition considérablement augmentée. "Chausenque, ici... rajoute 400 (pages) de morceaux rapportés, qui s'appliquent presque tous aux Hautes Pyrénées... un véritable corpus Juris, qu'on ne peut plus lire d'affilée. Beaucoup de lecteurs même renoncent tout à fait. Ils ont tort, les bons morceaux y abondent. CHAUSENQUE (1782-1868) est né et mort à Gontaud. Il découvre les Pyrénées à 11 ans mais c'est en 1804, comme officier topographe, qu'il arrive à Bayonne. Il effectue durant son service plusieurs missions dans les hautes Pyrénées avant de démissionner en 1808. Il visite les Alpes en 1811. On perd un peu sa trace jusqu'en 1822, date à laquelle débute la grande période des ascensions pyrénéennes. Il grimpe au Pic du Midi de Bigorre avec La BOULINIÈRE, rencontre RAMOND aux cascades d'Escoubous, ascensionne le Canigou avec ARBANÈRE ou encore le Montcalm avec G. de Luppé. Hanté par le Néouvielle, il retente à 65 ans l'ascension de ce sommet dont il fait la conquête en 1847.
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