Dora Maar (1907-1997)
Dora Maar (1907-1997)
Sans titre Encre sur papier portant le cachet de la vente d'atelier en bas à droite 32 x 24 cm Provenance : > Vente de l’atelier de l’artiste, Piasa, Paris, décembre 1998 Si le nom de Dora Maar confine au mythe pour l’histoire de l’art ("Pour moi, a admis Picasso, elle est une femme qui pleure. Pendant des années, je l’ai peinte en formes torturées, non par sadisme mais par plaisir. Je ne pouvais que donner la vision qui s’impose à moi, c’était la réalité profonde de Dora"), il aura fallu attendre l'exposition rétrospective de 2019, organisée conjointement par le Centre Pompidou, la Tate Modern et le Getty Museum, pour parvenir à une double redécouverte. Celle d’une artiste véritable, photographe inventive, pleinement intégrée au Surréalisme historique, et, à l’intérieur de ce corpus méconnu, un joyau encore plus secret: sa peinture et, surtout, ses œuvres dessinées. Stéphane Corréard & Hervé Loevenbruck
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Dora Maar (1907-1997)
Sans titre Encre sur papier portant le cachet de la vente d'atelier en bas à droite 32 x 24 cm Provenance : > Vente de l’atelier de l’artiste, Piasa, Paris, décembre 1998 Si le nom de Dora Maar confine au mythe pour l’histoire de l’art ("Pour moi, a admis Picasso, elle est une femme qui pleure. Pendant des années, je l’ai peinte en formes torturées, non par sadisme mais par plaisir. Je ne pouvais que donner la vision qui s’impose à moi, c’était la réalité profonde de Dora"), il aura fallu attendre l'exposition rétrospective de 2019, organisée conjointement par le Centre Pompidou, la Tate Modern et le Getty Museum, pour parvenir à une double redécouverte. Celle d’une artiste véritable, photographe inventive, pleinement intégrée au Surréalisme historique, et, à l’intérieur de ce corpus méconnu, un joyau encore plus secret: sa peinture et, surtout, ses œuvres dessinées. Stéphane Corréard & Hervé Loevenbruck