Ecole FRANCAISE du XIXème siècle, atelier de Léon COGNIET Scène...
Ecole FRANCAISE du XIXème siècle, atelier de Léon COGNIET
Scène du massacre des Innocents
Toile
134,5 x 117,5 cm
Une version grand format de notre tableau par Cogniet (261 x 228 cm), peinte en 1824, a été acquise en 1988 par le Musée des Beaux – Arts de Rennes. Présenté au Salon de 1824 ce tableau fut très remarqué tant par le public que par la critique.
Le Musée des Beaux – Arts d’Orléans possède plusieurs études sur toile pour ce tableau, dont une étude des têtes de la mère et de l’enfant, une étude de la mère accroupie avec l’enfant, deux études de l’ensemble du tableau.
Tiré du Nouveau Testament, le sujet du Massacre des Innocents a inspiré la plupart des grands peintres. Léon Cogniet fait ici œuvre de novateur, notamment par la façon dont il traite ce thème tragique, par les expressions audacieuses qu’il donne à ses personnages, par sa spontanéité. Le drame est suggéré par l’expression de terreur de la mère réfugiée derrière un mur, qui étouffe avec sa main les cris de son enfant. Cogniet atteindra rarement par la suite le degré de tension et la mise en scène spectaculaire qu’il donne à cette œuvre, s’inscrivant dans le jeune courant romantique.
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Ecole FRANCAISE du XIXème siècle, atelier de Léon COGNIET
Scène du massacre des Innocents
Toile
134,5 x 117,5 cm
Une version grand format de notre tableau par Cogniet (261 x 228 cm), peinte en 1824, a été acquise en 1988 par le Musée des Beaux – Arts de Rennes. Présenté au Salon de 1824 ce tableau fut très remarqué tant par le public que par la critique.
Le Musée des Beaux – Arts d’Orléans possède plusieurs études sur toile pour ce tableau, dont une étude des têtes de la mère et de l’enfant, une étude de la mère accroupie avec l’enfant, deux études de l’ensemble du tableau.
Tiré du Nouveau Testament, le sujet du Massacre des Innocents a inspiré la plupart des grands peintres. Léon Cogniet fait ici œuvre de novateur, notamment par la façon dont il traite ce thème tragique, par les expressions audacieuses qu’il donne à ses personnages, par sa spontanéité. Le drame est suggéré par l’expression de terreur de la mère réfugiée derrière un mur, qui étouffe avec sa main les cris de son enfant. Cogniet atteindra rarement par la suite le degré de tension et la mise en scène spectaculaire qu’il donne à cette œuvre, s’inscrivant dans le jeune courant romantique.