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FRANCISCO MASRIERA Y MANOVENS (Barcelone, 1842-1902). "Portrait de femme". 1884. Huile sur toile. Signée et...

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FRANCISCO MASRIERA Y MANOVENS (Barcelone, 1842-1902). "Portrait de femme". 1884. Huile sur toile. Signée et datée dans le coin inférieur droit. Restauration visible au dos. Dimensions : 81 x 65 cm ; 101 x 85 cm (cadre). Masriera, l'un des plus grands portraitistes catalans de son époque, a toujours porté un intérêt particulier à la figure féminine. Dans ce portrait d'une dame, nous pouvons apprécier sa capacité à saisir le caractère de la personne comme dans un instantané et, en même temps, à capturer les détails délicats du costume avec un coup de pinceau vif et audacieux. Peintre, écrivain et orfèvre espagnol, il a commencé sa formation dans l'atelier de joaillerie de son père José María Masriera et dans celui de José Serra y Porson. Toujours soucieux de se perfectionner et d'aborder de nouveaux horizons, il affine sa technique après un voyage à Genève où il apprend le procédé de l'émail, qui sera l'une des principales caractéristiques de ses créations d'orfèvre. Quant à sa facette de peintre, il est prouvé qu'il se rend pour la première fois à Paris en 1865, où il fréquente l'atelier de Cabanel. À plusieurs reprises, il se rend dans la capitale française, épicentre de la modernité artistique de l'époque, où il acquiert la rapidité du coup de pinceau, la luminosité et le chromatisme vif des premiers impressionnistes, caractéristiques que l'on retrouve dans ce magnifique tableau. Comme le montre également l'œuvre présentée ici, Masriera a su combiner la fraîcheur des nouvelles tendances plastiques qui émergeaient alors à Paris, avec la longue tradition néoclassique marquée par l'Académie : une attention particulière au dessin, le soin de la composition et l'étude rigoureuse des maîtres anciens. En effet, il est prouvé qu'au Louvre, il se consacre à la copie des œuvres principales afin d'acquérir la maîtrise des classiques, et qu'à Paris, il participe aux expositions universelles de 1867, 1878 et 1889. On trouve également des traces de ses voyages à Rome, où il commence à peindre des toiles orientalistes. En tant qu'écrivain et chroniqueur, il collabore à la revue El Recuerdo. En Espagne, il remporte la deuxième médaille de l'Exposition nationale des beaux-arts de 1878 pour l'œuvre intitulée La esclava, et expose également ses œuvres à la galerie Bosch de Madrid en 1882 et à la Sala Parés de Barcelone en 1889. Comme on peut le constater dans cette peinture exquise, la technique de Masriera se caractérise par la perfection du dessin, une composition soignée et une couleur pleine de force et de luminosité, qui se manifeste surtout dans l'irisation des toiles. Il se distingue par sa préciosité pleine de fantaisie, ainsi que par la fraîcheur de ses couleurs.

Traduit automatiquement par DeepL. Seule la version originale fait foi.
Pour voir la version originale, cliquez-ici.

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23 Apr 2024
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FRANCISCO MASRIERA Y MANOVENS (Barcelone, 1842-1902). "Portrait de femme". 1884. Huile sur toile. Signée et datée dans le coin inférieur droit. Restauration visible au dos. Dimensions : 81 x 65 cm ; 101 x 85 cm (cadre). Masriera, l'un des plus grands portraitistes catalans de son époque, a toujours porté un intérêt particulier à la figure féminine. Dans ce portrait d'une dame, nous pouvons apprécier sa capacité à saisir le caractère de la personne comme dans un instantané et, en même temps, à capturer les détails délicats du costume avec un coup de pinceau vif et audacieux. Peintre, écrivain et orfèvre espagnol, il a commencé sa formation dans l'atelier de joaillerie de son père José María Masriera et dans celui de José Serra y Porson. Toujours soucieux de se perfectionner et d'aborder de nouveaux horizons, il affine sa technique après un voyage à Genève où il apprend le procédé de l'émail, qui sera l'une des principales caractéristiques de ses créations d'orfèvre. Quant à sa facette de peintre, il est prouvé qu'il se rend pour la première fois à Paris en 1865, où il fréquente l'atelier de Cabanel. À plusieurs reprises, il se rend dans la capitale française, épicentre de la modernité artistique de l'époque, où il acquiert la rapidité du coup de pinceau, la luminosité et le chromatisme vif des premiers impressionnistes, caractéristiques que l'on retrouve dans ce magnifique tableau. Comme le montre également l'œuvre présentée ici, Masriera a su combiner la fraîcheur des nouvelles tendances plastiques qui émergeaient alors à Paris, avec la longue tradition néoclassique marquée par l'Académie : une attention particulière au dessin, le soin de la composition et l'étude rigoureuse des maîtres anciens. En effet, il est prouvé qu'au Louvre, il se consacre à la copie des œuvres principales afin d'acquérir la maîtrise des classiques, et qu'à Paris, il participe aux expositions universelles de 1867, 1878 et 1889. On trouve également des traces de ses voyages à Rome, où il commence à peindre des toiles orientalistes. En tant qu'écrivain et chroniqueur, il collabore à la revue El Recuerdo. En Espagne, il remporte la deuxième médaille de l'Exposition nationale des beaux-arts de 1878 pour l'œuvre intitulée La esclava, et expose également ses œuvres à la galerie Bosch de Madrid en 1882 et à la Sala Parés de Barcelone en 1889. Comme on peut le constater dans cette peinture exquise, la technique de Masriera se caractérise par la perfection du dessin, une composition soignée et une couleur pleine de force et de luminosité, qui se manifeste surtout dans l'irisation des toiles. Il se distingue par sa préciosité pleine de fantaisie, ainsi que par la fraîcheur de ses couleurs.

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