Ferdinand du Puigaudeau (1864-1930) Voiliers au coucher du soleil
Huile sur toile signée en bas à droite
H. 13 in L. 16 1/8 in
Peintre français qui reçoit une éducation académique typique du XIXe, mais se libère rapidement de tous les enseignements trop stricts. Inspiré par les maîtres anciens, notamment Le Caravage, la lumière trouve une place centrale dans son œuvre. Ami de Charles Laval, disciple de Paul Gauguin, il participe à l’émergence de l’école de Pont-Aven. Sa rencontre avec le marchand Paul Durand-Ruel joue un rôle déterminant dans la reconnaissance de l’artiste au sein du monde artistique parisien. Un voyage à Venise confirme sa trajectoire vers le néo-impressionnisme. À partir de 1907, il s’installe au manoir de Kervaudu et se consacre à l’éducation de sa fille et à son art. Il parcourt la région et peint les couchers de soleil, la mer et la côte sauvage. À la fin de sa vie, il dit à sa fille : “Il y a encore tant de belles choses que j’aurais voulu peindre. Regarde cette lumière dorée sur les mûriers, cette lumière dont j’ai tant cherché les secrets. C’est dur de vous quitter toutes les deux et de quitter la lumière, les jeux des couleurs...”. (MLD)
Bibliography
> Antoine Laurentin, Catalogue raisonné des peintures de Ferdinand du Puigaudeau (1864-1930), tome II, éditions Antoine Laurentin, Paris, 2023, reproduit p. 245 sous le n°II-359
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Encadrée, rentoilée
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Huile sur toile signée en bas à droite
H. 13 in L. 16 1/8 in
Peintre français qui reçoit une éducation académique typique du XIXe, mais se libère rapidement de tous les enseignements trop stricts. Inspiré par les maîtres anciens, notamment Le Caravage, la lumière trouve une place centrale dans son œuvre. Ami de Charles Laval, disciple de Paul Gauguin, il participe à l’émergence de l’école de Pont-Aven. Sa rencontre avec le marchand Paul Durand-Ruel joue un rôle déterminant dans la reconnaissance de l’artiste au sein du monde artistique parisien. Un voyage à Venise confirme sa trajectoire vers le néo-impressionnisme. À partir de 1907, il s’installe au manoir de Kervaudu et se consacre à l’éducation de sa fille et à son art. Il parcourt la région et peint les couchers de soleil, la mer et la côte sauvage. À la fin de sa vie, il dit à sa fille : “Il y a encore tant de belles choses que j’aurais voulu peindre. Regarde cette lumière dorée sur les mûriers, cette lumière dont j’ai tant cherché les secrets. C’est dur de vous quitter toutes les deux et de quitter la lumière, les jeux des couleurs...”. (MLD)
Bibliography
> Antoine Laurentin, Catalogue raisonné des peintures de Ferdinand du Puigaudeau (1864-1930), tome II, éditions Antoine Laurentin, Paris, 2023, reproduit p. 245 sous le n°II-359
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