JOMARD (François Edme) (1777-1862) Lettre... - Lot 71 - Pescheteau-Badin
JOMARD (François Edme) (1777-1862)
Lettre autographe signée à au Dr Perron, Paris, le 24 juillet 1842. 3 pp. gd in-4. Entête « Mission Egyptienne en France ».
Il fait part des difficultés qu'il rencontre dans l'édition d'un ouvrage « La librairie Arthur Bertrand retire sa parole. Les raisons de refus aux quelles il fait allusions dans sa lettre ne sont pas très bonnes, vous en jugerez 1° Il dit que la carte seule lui coutera 400 ou 500 francs à graver, 2° il prétend que le ton du récit est trop naïf, et que l'ouvrage n'aurait pas de débit () 3° Il ajoute que les Voyages les plus récents ne se vendent pas () Le mal est que le refus de Mr A. Bertrand, qui est le libraire des Voyages (par excellence), fait craindre le même effet, si on se tourne d'un autre coté ()Il faut le dire : on ne lit plus : voila pourquoi on n'achète plus () » espère la venue officielle « du jeune Hassaneyn Aly ».
L'ouvrage mentionné ci-dessus est très certainement, Voyage au Ouadây par le Cheykh Mohammed ibn-Omar el Tounsy, traduit de l'arabe par le Dr Perron et publié par Jomard et Dr Perron en 1851
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JOMARD (François Edme) (1777-1862)
Lettre autographe signée à au Dr Perron, Paris, le 24 juillet 1842. 3 pp. gd in-4. Entête « Mission Egyptienne en France ».
Il fait part des difficultés qu'il rencontre dans l'édition d'un ouvrage « La librairie Arthur Bertrand retire sa parole. Les raisons de refus aux quelles il fait allusions dans sa lettre ne sont pas très bonnes, vous en jugerez 1° Il dit que la carte seule lui coutera 400 ou 500 francs à graver, 2° il prétend que le ton du récit est trop naïf, et que l'ouvrage n'aurait pas de débit () 3° Il ajoute que les Voyages les plus récents ne se vendent pas () Le mal est que le refus de Mr A. Bertrand, qui est le libraire des Voyages (par excellence), fait craindre le même effet, si on se tourne d'un autre coté ()Il faut le dire : on ne lit plus : voila pourquoi on n'achète plus () » espère la venue officielle « du jeune Hassaneyn Aly ».
L'ouvrage mentionné ci-dessus est très certainement, Voyage au Ouadây par le Cheykh Mohammed ibn-Omar el Tounsy, traduit de l'arabe par le Dr Perron et publié par Jomard et Dr Perron en 1851
