JOUHANDEAU, Marcel (1888-1979). Lettre autographe signée « M » à son amant Robert Coquet, datée « Vendredi » [d'une autre main 15 mai 1949].
JOUHANDEAU, Marcel (1888-1979). Lettre autographe signée « M » à son amant Robert Coquet, datée « Vendredi » [d'une autre main 15 mai 1949].
Deux pages in-12 (208 x 132 mm). Encre violette sur papier.
Belle lettre passionnée à son amant Robert Coquet. « J’ai senti sous les mots ton petit corps glacé, ta petite âme transie […] Permets que ce cercle de feu qui nous enferme et nous sépare du reste du monde te réchauffe, comme tu es le seul ange qui me dispute à la mort ; Je te laisse l’éloigner de mon chemin. J’ai parlé de ta maladie avec une personne compétente. Il paraît que c’est… sans gravité […] »
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JOUHANDEAU, Marcel (1888-1979). Lettre autographe signée « M » à son amant Robert Coquet, datée « Vendredi » [d'une autre main 15 mai 1949].
Deux pages in-12 (208 x 132 mm). Encre violette sur papier.
Belle lettre passionnée à son amant Robert Coquet. « J’ai senti sous les mots ton petit corps glacé, ta petite âme transie […] Permets que ce cercle de feu qui nous enferme et nous sépare du reste du monde te réchauffe, comme tu es le seul ange qui me dispute à la mort ; Je te laisse l’éloigner de mon chemin. J’ai parlé de ta maladie avec une personne compétente. Il paraît que c’est… sans gravité […] »