MAROT, Clément (1496-1544). Les Œuvres de Clément Marot, de Cahors, vallet de chambre du roy. Reveues et augmentées de nouveau. [Avec: Les Traductions...]. Lyon : Guillaume Rouille, 1554.
MAROT, Clément (1496-1544). Les Œuvres de Clément Marot, de Cahors, vallet de chambre du roy. Reveues et augmentées de nouveau. [Avec: Les Traductions...]. Lyon : Guillaume Rouille, 1554.
Exemplaire en reliure de l'époque. Le lecteur avisé du milieu du XVIIIe qui a annoté l'exemplaire indique notamment que "l'élégie XXIII à une malcontente p. 125 n'est pas de la façon de Marot. Elle est très certainement de S. Gelais. C'est une imitation de ces vers de l'Arétin: Per tutto l'or del Mondo, qui se lisent dans la seconde journée de la 2. part. des Ragionamenti". Facétieux, il a aussi inscrit : "Charleval avoit mis cette épigramme à la tête de son Marot, en l'envoyant à une Dame qui l'avoit prié de le lui prêter: Les oeuvres de maître Clément/Ne sont point gibier à dévote/Je vous les prête facilement/Gardez bien qu'on ne vous les ôte/Si quelqu'un vous les escamote/Je le donne au diable Astarot/Chacun est fou de sa marotte/Moi je le suis de mon Marot". Brunet, III, col. 1456.
Petit in-8 (123 x 72 mm). Marque de l'imprimeur au titre, vignettes dans le texte des Métamorphoses, lettrines historiées, bandeaux. Reliure française de l'époque en veau caramel, fleurons dorés et filets à froid sur les plats, dos à nerfs, caissons ornés (usures au dos, coiffe supérieure manquante). Provenance : ex-libris manuscrit daté 1557 sur le second contreplat : "Andreas Martius Augustanus" -- Gottlieb Paul Christ (1707-1786) (ex-libris manuscrit et annotations datés de 1759 sur le premier contreplat : "Theophili Pauli Christii Coburgensis. Ex Bibliotheca Zochia, quae constituta auctione divendebatur Onoldibaci").
Chacun est fou de sa marotte
Moi je le suis de mon Marot
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MAROT, Clément (1496-1544). Les Œuvres de Clément Marot, de Cahors, vallet de chambre du roy. Reveues et augmentées de nouveau. [Avec: Les Traductions...]. Lyon : Guillaume Rouille, 1554.
Exemplaire en reliure de l'époque. Le lecteur avisé du milieu du XVIIIe qui a annoté l'exemplaire indique notamment que "l'élégie XXIII à une malcontente p. 125 n'est pas de la façon de Marot. Elle est très certainement de S. Gelais. C'est une imitation de ces vers de l'Arétin: Per tutto l'or del Mondo, qui se lisent dans la seconde journée de la 2. part. des Ragionamenti". Facétieux, il a aussi inscrit : "Charleval avoit mis cette épigramme à la tête de son Marot, en l'envoyant à une Dame qui l'avoit prié de le lui prêter: Les oeuvres de maître Clément/Ne sont point gibier à dévote/Je vous les prête facilement/Gardez bien qu'on ne vous les ôte/Si quelqu'un vous les escamote/Je le donne au diable Astarot/Chacun est fou de sa marotte/Moi je le suis de mon Marot". Brunet, III, col. 1456.
Petit in-8 (123 x 72 mm). Marque de l'imprimeur au titre, vignettes dans le texte des Métamorphoses, lettrines historiées, bandeaux. Reliure française de l'époque en veau caramel, fleurons dorés et filets à froid sur les plats, dos à nerfs, caissons ornés (usures au dos, coiffe supérieure manquante). Provenance : ex-libris manuscrit daté 1557 sur le second contreplat : "Andreas Martius Augustanus" -- Gottlieb Paul Christ (1707-1786) (ex-libris manuscrit et annotations datés de 1759 sur le premier contreplat : "Theophili Pauli Christii Coburgensis. Ex Bibliotheca Zochia, quae constituta auctione divendebatur Onoldibaci").
Chacun est fou de sa marotte
Moi je le suis de mon Marot