MITCH ALLAND - Frog leaping [ex n°250/500]. Dans Frog Leaping, Mieczysław (« Mitch ») Alland...
MITCH ALLAND - Frog leaping [ex n°250/500]. Dans Frog Leaping, Mieczysław (« Mitch ») Alland associe ses photos à l’idée de haïku. Tout comme dans le cas de ses images, le haïku pose la question de la concentration et du vide, ce qui rend superflu le sens du temps. Dans une certaine mesure, il aborde également ce qui n’est pas dit, incitant le lecteur à faire sa propre interprétation. Comme il se doit, tout est lié. Le temps et le lieu se plient en un seul cadre. Encore et encore et encore. Les continents se confondent. Des lions et des danseurs, des vendeurs et des poissonniers, des bouddhas et des mannequins, ils sont tous « ici », ils sont tous « maintenant ». / In Frog Leaping, Mieczysław (“Mitch”) Alland links his photos to the idea of haiku. Just as in the case of its images, the haiku raises the question of concentration and emptiness, which renders the sense of time superfluous. To some extent, it also addresses what is not said, prompting the reader to make their own interpretation. As it should be, everything is connected. Time and place fold into a single frame. Again and again and again. The continents merge into each other. Lions and dancers, vendors and fishmongers, Buddhas and models, they are all “here”, they are all “now”.
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MITCH ALLAND - Frog leaping [ex n°250/500]. Dans Frog Leaping, Mieczysław (« Mitch ») Alland associe ses photos à l’idée de haïku. Tout comme dans le cas de ses images, le haïku pose la question de la concentration et du vide, ce qui rend superflu le sens du temps. Dans une certaine mesure, il aborde également ce qui n’est pas dit, incitant le lecteur à faire sa propre interprétation. Comme il se doit, tout est lié. Le temps et le lieu se plient en un seul cadre. Encore et encore et encore. Les continents se confondent. Des lions et des danseurs, des vendeurs et des poissonniers, des bouddhas et des mannequins, ils sont tous « ici », ils sont tous « maintenant ». / In Frog Leaping, Mieczysław (“Mitch”) Alland links his photos to the idea of haiku. Just as in the case of its images, the haiku raises the question of concentration and emptiness, which renders the sense of time superfluous. To some extent, it also addresses what is not said, prompting the reader to make their own interpretation. As it should be, everything is connected. Time and place fold into a single frame. Again and again and again. The continents merge into each other. Lions and dancers, vendors and fishmongers, Buddhas and models, they are all “here”, they are all “now”.
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