MOLINIER, Pierre (1900-1976). Mon cul. Ca 1965.
MOLINIER, Pierre (1900-1976). Mon cul. Ca 1965.
Tirage de grand format de cette célèbre série d’autoportraits érotiques. Luciano Castelli rapporte dans un entretien avec Jean-Luc Monterosso la fascination qu’avait Pierre Molinier pour les bas et les jambes et la fierté qu’il avait pour les siennes en particulier : « Il a commencé à se pavaner de long en large, laissant admirer ses jambes vraiment très fines et juvéniles avant de s’exclamer : « N’ai-je pas les jambes de Marlene Dietrich ? » Ce fétichisme se retrouve dans cet autoportrait réalisé alors que l’artiste a déjà une soixantaine d’années. Pierre Molinier, photographe : une rétrospective, Paris : Ed. Mennour, 2000, pp. 138-139.
Tirage argentique noir et blanc sur papier velours (230 x 170 mm), (présence de champignons et tâches dans la partie inférieure avec retouches).
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MOLINIER, Pierre (1900-1976). Mon cul. Ca 1965.
Tirage de grand format de cette célèbre série d’autoportraits érotiques. Luciano Castelli rapporte dans un entretien avec Jean-Luc Monterosso la fascination qu’avait Pierre Molinier pour les bas et les jambes et la fierté qu’il avait pour les siennes en particulier : « Il a commencé à se pavaner de long en large, laissant admirer ses jambes vraiment très fines et juvéniles avant de s’exclamer : « N’ai-je pas les jambes de Marlene Dietrich ? » Ce fétichisme se retrouve dans cet autoportrait réalisé alors que l’artiste a déjà une soixantaine d’années. Pierre Molinier, photographe : une rétrospective, Paris : Ed. Mennour, 2000, pp. 138-139.
Tirage argentique noir et blanc sur papier velours (230 x 170 mm), (présence de champignons et tâches dans la partie inférieure avec retouches).
