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LOT 23

Maitreya Chine. ca 18° siècle Cuivre repoussé…

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Maitreya
Chine. ca 18° siècle
Cuivre repoussé doré. H. 51,5 cm
Le «Buddha à venir» est ici figuré suivant son iconographie classique, assis «à l'occidentale» sur un trône, les mains en dharmachakra mudra tenant les tiges de lotus s'épanouissant au-dessus de ses épaules. Un stupa est fixé à la base de son chignon. Les parures sont encore partiellement incrustées de turquoises et corail. La base a été ouverte et l'objet désacralisé, mais la plaque marquée d'un double vajra est toujours présente. Petits accidents et manques visibles, dont un fleuron du diadème et une tige de lotus.
Cette oeuvre est à mettre en rapport avec tout un corpus de représentations de divinités créées pour les nombreuses fondations lamaïques impériales de Chine du Nord, essentiellement durant le long règne de l'empereur Qianlong (1736-1795). Les grands centres dans lesquels ce style semble s'être développé sont essentiellement Beijing, Jehol, Dolonnor et Chahar. Pour faire face à la masse des commandes, l'utilisation de la technique du repoussé semble avoir permis une production plus rapide et économe en matière première que la fonte. L'habileté des artisans ayant exploité cette technique est particulièrement visible dans le traitement des fleurs s'épanouissant au-dessus des épaules de la divinité.
Provenance:
- Ancienne collection Française

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Time, Location
17 Apr 2019
France, Paris
Auction House
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Maitreya
Chine. ca 18° siècle
Cuivre repoussé doré. H. 51,5 cm
Le «Buddha à venir» est ici figuré suivant son iconographie classique, assis «à l'occidentale» sur un trône, les mains en dharmachakra mudra tenant les tiges de lotus s'épanouissant au-dessus de ses épaules. Un stupa est fixé à la base de son chignon. Les parures sont encore partiellement incrustées de turquoises et corail. La base a été ouverte et l'objet désacralisé, mais la plaque marquée d'un double vajra est toujours présente. Petits accidents et manques visibles, dont un fleuron du diadème et une tige de lotus.
Cette oeuvre est à mettre en rapport avec tout un corpus de représentations de divinités créées pour les nombreuses fondations lamaïques impériales de Chine du Nord, essentiellement durant le long règne de l'empereur Qianlong (1736-1795). Les grands centres dans lesquels ce style semble s'être développé sont essentiellement Beijing, Jehol, Dolonnor et Chahar. Pour faire face à la masse des commandes, l'utilisation de la technique du repoussé semble avoir permis une production plus rapide et économe en matière première que la fonte. L'habileté des artisans ayant exploité cette technique est particulièrement visible dans le traitement des fleurs s'épanouissant au-dessus des épaules de la divinité.
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- Ancienne collection Française

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