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Maurice FEUILLET (Paris 1873 - 1968)

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Maurice FEUILLET (Paris 1873 - 1968)
Bertulus, le juge d'instruction
Pierre noire
34,3 x 22 cm
Signé, daté et situé en bas à droite " Maurice Feuillet/Rennes/29.VIII.99 "
Annoté " Bertulus " au crayon noir en bas à droite
Juge d'instruction à Paris, Paul Bertulus apparaît pour la première dans l'Affaire en 1897. Il est saisi de deux plaintes portant sur des affaires connexes. L'une contre Mathieu Dreyfus pour une pseudo-tentative de corruption de Sandherr en 1894. L'autre par Joseph Reinach contre Lemercier-Picard au sujet du " faux Otto ".
En février 1898, il intervient de nouveau dans l'Affaire pour instruire la plainte que Picquart avait déposée pour faux en écriture privée contre Souffrain.
Magistrat libre et indépendant, s'attirant les foudres de sa hiérarchie et de la presse anti-dreyfusarde, il s'intéresse de près à l'Affaire. En 1899, il est appelé à déposer à Rennes. " On vous a dit : "Dreyfus est coupable", et on l'a démontré par un faisceau d'hypothèses. / Moi je vous dis, en mon âme et conscience, parce que j'ai vu toute l'affaire pendant de longs mois, parce que je m'en suis occupé pendant des mois et des mois ; je vous dis : "Je ne crois pas qu'il soit coupable." / Je crois, moi, à l'innocence de Dreyfus. " Automatically translated by DeepL. To see the original version, click here.

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Estimate
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Time, Location
08 Dec 2020
France, Nantes
Auction House
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Maurice FEUILLET (Paris 1873 - 1968)
Bertulus, le juge d'instruction
Pierre noire
34,3 x 22 cm
Signé, daté et situé en bas à droite " Maurice Feuillet/Rennes/29.VIII.99 "
Annoté " Bertulus " au crayon noir en bas à droite
Juge d'instruction à Paris, Paul Bertulus apparaît pour la première dans l'Affaire en 1897. Il est saisi de deux plaintes portant sur des affaires connexes. L'une contre Mathieu Dreyfus pour une pseudo-tentative de corruption de Sandherr en 1894. L'autre par Joseph Reinach contre Lemercier-Picard au sujet du " faux Otto ".
En février 1898, il intervient de nouveau dans l'Affaire pour instruire la plainte que Picquart avait déposée pour faux en écriture privée contre Souffrain.
Magistrat libre et indépendant, s'attirant les foudres de sa hiérarchie et de la presse anti-dreyfusarde, il s'intéresse de près à l'Affaire. En 1899, il est appelé à déposer à Rennes. " On vous a dit : "Dreyfus est coupable", et on l'a démontré par un faisceau d'hypothèses. / Moi je vous dis, en mon âme et conscience, parce que j'ai vu toute l'affaire pendant de longs mois, parce que je m'en suis occupé pendant des mois et des mois ; je vous dis : "Je ne crois pas qu'il soit coupable." / Je crois, moi, à l'innocence de Dreyfus. " Automatically translated by DeepL. To see the original version, click here.

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