PLATEAU EN FAÏENCE DU MARCHÉ OTTOMAN, RUSSE, FIN DU 19E SIÈCLE oblong, à fond rouge,...
PLATEAU EN FAÏENCE DU MARCHÉ OTTOMAN, RUSSE, FIN DU 19E SIÈCLE oblong, à fond rouge, orné d'un grand panneau en forme d'estampe peinte représentant des "yalis" (villas) de front de mer près de Constantinople, au premier plan un bateau à aubes battant pavillon ottoman et passant devant deux caïques traditionnels du Bosphore, bordure dorée entourant deux réserves florales et des écoinçons floraux, poignées à boucle en laiton typiquement rivetées, 67 cm de long. caïques traditionnels du Bosphore, bordure dorée entourant deux réserves florales et des écoinçons floraux, poignées typiques en laiton riveté, 67 cm de long. Ces plateaux ornés sont devenus un élément essentiel de l'hospitalité dans tout foyer qui se respecte dans la bourgoisie émergente du monde ottoman et grec de la fin du XIXe siècle. Bien qu'ils aient été fabriqués à l'étranger, dont beaucoup apparemment en Russie, les plateaux produits pour le marché ottoman présentent souvent une nette absence de figures humaines, les scènes centrales s'inspirant probablement de motifs fournis par les Turcs.
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PLATEAU EN FAÏENCE DU MARCHÉ OTTOMAN, RUSSE, FIN DU 19E SIÈCLE oblong, à fond rouge, orné d'un grand panneau en forme d'estampe peinte représentant des "yalis" (villas) de front de mer près de Constantinople, au premier plan un bateau à aubes battant pavillon ottoman et passant devant deux caïques traditionnels du Bosphore, bordure dorée entourant deux réserves florales et des écoinçons floraux, poignées à boucle en laiton typiquement rivetées, 67 cm de long. caïques traditionnels du Bosphore, bordure dorée entourant deux réserves florales et des écoinçons floraux, poignées typiques en laiton riveté, 67 cm de long. Ces plateaux ornés sont devenus un élément essentiel de l'hospitalité dans tout foyer qui se respecte dans la bourgoisie émergente du monde ottoman et grec de la fin du XIXe siècle. Bien qu'ils aient été fabriqués à l'étranger, dont beaucoup apparemment en Russie, les plateaux produits pour le marché ottoman présentent souvent une nette absence de figures humaines, les scènes centrales s'inspirant probablement de motifs fournis par les Turcs.
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