Pierre Soulages (1919-2022)
Pierre Soulages (1919-2022)
Eau forte n°XXXIV 1978 Eau-forte et aquatinte sur papier Vélin d’Arches signé en bas à droite et numéroté XXXIV/XXXV en bas à gauche 43 x 37,7 cm Provenance : > Collection privée, Paris Bibliographie : > Pierre Encrevé et Marie-Cécile Miessner (dir.), Soulages, L'Œuvre imprimé, Bibliothèque nationale de France, Paris, 2003, n°36 Rapport de condition : Encadré Issue de l’ouvrage “Les Élégies Majeures” de Léopold Sédar Senghor cette eau-forte illustre “l’Élégie de Carthage”. Elle est extrêmement rare - notamment dans ces dimensions - puisqu’elle est extraite de l’un des 35 exemplaires de tête de l’ouvrage. “La première fois que je vis un tableau de Pierre Soulages, ce fut un choc. Je reçus, au creux de l’estomac, un coup qui me fit vaciller, comme le boxeur touché, qui soudain s’abîme. C’est exactement l’impression que j’avais éprouvée à la première vue d’un masque dan. Ce n’est pas hasard, les peintures de Soulages me rappellent toujours les sculptures, voire les peintures négro-africaines. C’est le même mépris de toute vaine élégance, qui ne va pas sans élégance, la même évidence, qui s’impose, la même saisie du spectateur à la racine de la vie.” Léopold Sédar Senghor
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Pierre Soulages (1919-2022)
Eau forte n°XXXIV 1978 Eau-forte et aquatinte sur papier Vélin d’Arches signé en bas à droite et numéroté XXXIV/XXXV en bas à gauche 43 x 37,7 cm Provenance : > Collection privée, Paris Bibliographie : > Pierre Encrevé et Marie-Cécile Miessner (dir.), Soulages, L'Œuvre imprimé, Bibliothèque nationale de France, Paris, 2003, n°36 Rapport de condition : Encadré Issue de l’ouvrage “Les Élégies Majeures” de Léopold Sédar Senghor cette eau-forte illustre “l’Élégie de Carthage”. Elle est extrêmement rare - notamment dans ces dimensions - puisqu’elle est extraite de l’un des 35 exemplaires de tête de l’ouvrage. “La première fois que je vis un tableau de Pierre Soulages, ce fut un choc. Je reçus, au creux de l’estomac, un coup qui me fit vaciller, comme le boxeur touché, qui soudain s’abîme. C’est exactement l’impression que j’avais éprouvée à la première vue d’un masque dan. Ce n’est pas hasard, les peintures de Soulages me rappellent toujours les sculptures, voire les peintures négro-africaines. C’est le même mépris de toute vaine élégance, qui ne va pas sans élégance, la même évidence, qui s’impose, la même saisie du spectateur à la racine de la vie.” Léopold Sédar Senghor
