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RARE BAGUE "PANSY" ENAMEL ET DIAMANT, PAR CHARLES RIVAUD, CIRCA 1900 Le diamant de forme...

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RARE BAGUE "PANSY" ENAMEL ET DIAMANT, PAR CHARLES RIVAUD, CIRCA 1900 Le diamant de forme coussin pesant environ 2,20cts, dans une monture de pétales en relief, appliquée avec de l'émail bleu, aux épaules, serties de diamants taillés en rose et d'émail bleu, monté en or 18K, signé CR pour Charles Rivaud, marque d'importation française, avec l'étui d'origine du fabricant estampillé "CH. Rivaud, 23, rue de Seine, Paris", taille M Charles Magloire Rivaud, artiste imaginatif et artisan qualifié, continue de captiver le monde de la joaillerie grâce à son héritage durable. Né le 5 avril 1859 dans le village de Boismorand, dans le Loiret, en France, Charles était destiné à la grandeur dans le domaine de la joaillerie, héritant d'une riche tradition qui s'étend sur trois générations. Son parcours commence à Paris, où il découvre sa passion et s'engage sur la voie de la transformation de la joaillerie. Rivaud s'est intéressé à la galvanoplastie et a été le pionnier de techniques qui allaient remodeler l'industrie. Son mariage, plus tard dans sa vie, a marqué un tournant important, fusionnant son amour pour l'artisanat avec un engagement profond envers sa ville bien-aimée. En établissant son atelier sur le quai de l'Horloge, Charles a imaginé un espace où la créativité pouvait s'épanouir, accueillant des artistes et des passionnés. Réputé pour sa collaboration avec des sculpteurs de renom tels qu'Oscar Roty, Jean Dampt et Victor Prouvé, Rivaud s'est fait connaître en tant qu'éditeur de broches ornées de médailles méticuleusement sculptées, notamment la célèbre Broche du Souvenir en 1898. Son partenariat avec Victor Prouvé a été mis en évidence au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, où les broches médaillées de Prouvé - Aurore, Crépuscule, Gaule, le Bonheur - éditées par Rivaud ont été présentées. Au milieu de la société parisienne, Charles reste fidèle à sa quête de l'excellence artisanale. En collaborant avec des sculpteurs et des peintres renommés, il a élevé ses créations à des niveaux inégalés, captivant les mécènes et les critiques. À travers chaque pièce méticuleusement fabriquée, Charles Rivaud a insufflé la vie dans un monde où la tradition se mêlait à l'innovation et où la beauté transcendait les contraintes du temps. Parmi ses remarquables créations, on trouve l'emblématique "bracelet du centenaire", qui témoigne de son respect pour l'histoire et de son génie artistique. Conçu pour commémorer le 100e anniversaire de la Révolution française, ce chef-d'œuvre incarne l'essence d'une époque révolue, immortalisant les idéaux de liberté, d'égalité et de fraternité. Orné de détails complexes et de symboles des Lumières, le bracelet du Centenaire reste un symbole intemporel de l'héritage durable de Charles Rivaud. Sa participation à l'Exposition universelle de Paris a mis en évidence l'importante contribution de Rivaud aux arts décoratifs. De 1901 à 1913, ses contributions au Salon couvrent un large éventail de bijoux, des anneaux en fer en 1903 à une plaque de corsage représentant la Tête de Saint Jean de Rodin en 1912. La maîtrise de Rivaud est symbolisée par sa marque unique - les lettres CR accompagnées d'une pile électrique - qui témoigne de son ingéniosité et de son héritage dans le monde des arts décoratifs. Son héritage s'étend au-delà de l'artisanat ; Rivaud est également le fondateur de la Société du Salon d'Automne et membre de la Société des Artistes Décorateurs. Les contributions de Charles Rivaud ont été remarquées dans plusieurs Salons entre 1906 et sa mort en 1923. Son fils, André-Charles, lui a succédé en 1924, assurant ainsi la continuité de l'héritage estimé de Rivaud. Rivaud laisse derrière lui un héritage d'innovation et de créativité qui continue d'inspirer des générations. Son dévouement inébranlable à l'excellence et sa passion pour l'artisanat. Les victoriens chérissaient les significations cachées : cette fascination se reflète dans l'artisanat de la joaillerie. Les fleurs, riches d'un symbolisme romantique, transmettaient des sentiments par le biais du langage des fleurs. Pour les Victoriens, les fleurs incarnaient de tendres émotions telles que l'attachement et la compassion. À l'époque, ce vocabulaire floral est devenu une forme discrète de communication, conforme à la bienséance victorienne. Parmi l'excès de symboles floraux, la pensée avait une signification particulière, symbolisant le mot "think of me" (pensez à moi), dérivé du mot français "pensée". La littérature, y compris Hamlet de Shakespeare, regorge de références aux pensées, faisant allusion à leur essence contemplative. Dans le langage floral, les pensées de la pensée du donneur vers le receveur sont souvent associées à l'amour platonique ou non réciproque. Le puissant symbolisme de la pensée s'est transcendé en bijoux sur mesure, ornés d'un travail d'émail exquis, renforçant son statut de symbole chéri de l'affection et de la contemplation. Un modèle très similaire est reproduit dans le livre Paris Salons 1895 - 1914 - Joaillerie - II : les designers de L à Z d'Alastair Duncan, avec la mention Paris Salon 1904".

Traduit automatiquement par DeepL. Seule la version originale fait foi.
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Time, Location
14 May 2024
Ireland, Dublin
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RARE BAGUE "PANSY" ENAMEL ET DIAMANT, PAR CHARLES RIVAUD, CIRCA 1900 Le diamant de forme coussin pesant environ 2,20cts, dans une monture de pétales en relief, appliquée avec de l'émail bleu, aux épaules, serties de diamants taillés en rose et d'émail bleu, monté en or 18K, signé CR pour Charles Rivaud, marque d'importation française, avec l'étui d'origine du fabricant estampillé "CH. Rivaud, 23, rue de Seine, Paris", taille M Charles Magloire Rivaud, artiste imaginatif et artisan qualifié, continue de captiver le monde de la joaillerie grâce à son héritage durable. Né le 5 avril 1859 dans le village de Boismorand, dans le Loiret, en France, Charles était destiné à la grandeur dans le domaine de la joaillerie, héritant d'une riche tradition qui s'étend sur trois générations. Son parcours commence à Paris, où il découvre sa passion et s'engage sur la voie de la transformation de la joaillerie. Rivaud s'est intéressé à la galvanoplastie et a été le pionnier de techniques qui allaient remodeler l'industrie. Son mariage, plus tard dans sa vie, a marqué un tournant important, fusionnant son amour pour l'artisanat avec un engagement profond envers sa ville bien-aimée. En établissant son atelier sur le quai de l'Horloge, Charles a imaginé un espace où la créativité pouvait s'épanouir, accueillant des artistes et des passionnés. Réputé pour sa collaboration avec des sculpteurs de renom tels qu'Oscar Roty, Jean Dampt et Victor Prouvé, Rivaud s'est fait connaître en tant qu'éditeur de broches ornées de médailles méticuleusement sculptées, notamment la célèbre Broche du Souvenir en 1898. Son partenariat avec Victor Prouvé a été mis en évidence au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, où les broches médaillées de Prouvé - Aurore, Crépuscule, Gaule, le Bonheur - éditées par Rivaud ont été présentées. Au milieu de la société parisienne, Charles reste fidèle à sa quête de l'excellence artisanale. En collaborant avec des sculpteurs et des peintres renommés, il a élevé ses créations à des niveaux inégalés, captivant les mécènes et les critiques. À travers chaque pièce méticuleusement fabriquée, Charles Rivaud a insufflé la vie dans un monde où la tradition se mêlait à l'innovation et où la beauté transcendait les contraintes du temps. Parmi ses remarquables créations, on trouve l'emblématique "bracelet du centenaire", qui témoigne de son respect pour l'histoire et de son génie artistique. Conçu pour commémorer le 100e anniversaire de la Révolution française, ce chef-d'œuvre incarne l'essence d'une époque révolue, immortalisant les idéaux de liberté, d'égalité et de fraternité. Orné de détails complexes et de symboles des Lumières, le bracelet du Centenaire reste un symbole intemporel de l'héritage durable de Charles Rivaud. Sa participation à l'Exposition universelle de Paris a mis en évidence l'importante contribution de Rivaud aux arts décoratifs. De 1901 à 1913, ses contributions au Salon couvrent un large éventail de bijoux, des anneaux en fer en 1903 à une plaque de corsage représentant la Tête de Saint Jean de Rodin en 1912. La maîtrise de Rivaud est symbolisée par sa marque unique - les lettres CR accompagnées d'une pile électrique - qui témoigne de son ingéniosité et de son héritage dans le monde des arts décoratifs. Son héritage s'étend au-delà de l'artisanat ; Rivaud est également le fondateur de la Société du Salon d'Automne et membre de la Société des Artistes Décorateurs. Les contributions de Charles Rivaud ont été remarquées dans plusieurs Salons entre 1906 et sa mort en 1923. Son fils, André-Charles, lui a succédé en 1924, assurant ainsi la continuité de l'héritage estimé de Rivaud. Rivaud laisse derrière lui un héritage d'innovation et de créativité qui continue d'inspirer des générations. Son dévouement inébranlable à l'excellence et sa passion pour l'artisanat. Les victoriens chérissaient les significations cachées : cette fascination se reflète dans l'artisanat de la joaillerie. Les fleurs, riches d'un symbolisme romantique, transmettaient des sentiments par le biais du langage des fleurs. Pour les Victoriens, les fleurs incarnaient de tendres émotions telles que l'attachement et la compassion. À l'époque, ce vocabulaire floral est devenu une forme discrète de communication, conforme à la bienséance victorienne. Parmi l'excès de symboles floraux, la pensée avait une signification particulière, symbolisant le mot "think of me" (pensez à moi), dérivé du mot français "pensée". La littérature, y compris Hamlet de Shakespeare, regorge de références aux pensées, faisant allusion à leur essence contemplative. Dans le langage floral, les pensées de la pensée du donneur vers le receveur sont souvent associées à l'amour platonique ou non réciproque. Le puissant symbolisme de la pensée s'est transcendé en bijoux sur mesure, ornés d'un travail d'émail exquis, renforçant son statut de symbole chéri de l'affection et de la contemplation. Un modèle très similaire est reproduit dans le livre Paris Salons 1895 - 1914 - Joaillerie - II : les designers de L à Z d'Alastair Duncan, avec la mention Paris Salon 1904".

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