Riccardo Licata (1929-2014) Composition, 2006
Huile sur toile signée en bas à gauche, datée en bas à droite
100 x 81 cm
“J’essaie de créer une représentation plastique de la pensée, non codifiée et non systématique, mais poétique, intensive, personnelle et d’imagination.” Riccardo Licata, peintre italien, débute sa carrière comme assistant de Gino Severini à l’École d’art italienne de Paris. Devenu professeur à l’École des beaux-arts, il remporte le premier prix d’art graphique à la Biennale de Venise en 1965. Dès 1952, son œuvre tend davantage vers la non-figuration. Son art coloré passe par tous moyens et supports et est intimement lié à la musique. “J’ai peint la musique, puis les événements, la vie et la nature, la pensée, l’être humain et les phénomènes naturels, la psyché, la poésie et la philosophie, l’histoire du monde et la mienne, en racontant, comme dans un journal intime, tout ce que je sentais et en cherchant à le représenter avec des signes, des traces et des couleurs.” (MLD)
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Huile sur toile signée en bas à gauche, datée en bas à droite
100 x 81 cm
“J’essaie de créer une représentation plastique de la pensée, non codifiée et non systématique, mais poétique, intensive, personnelle et d’imagination.” Riccardo Licata, peintre italien, débute sa carrière comme assistant de Gino Severini à l’École d’art italienne de Paris. Devenu professeur à l’École des beaux-arts, il remporte le premier prix d’art graphique à la Biennale de Venise en 1965. Dès 1952, son œuvre tend davantage vers la non-figuration. Son art coloré passe par tous moyens et supports et est intimement lié à la musique. “J’ai peint la musique, puis les événements, la vie et la nature, la pensée, l’être humain et les phénomènes naturels, la psyché, la poésie et la philosophie, l’histoire du monde et la mienne, en racontant, comme dans un journal intime, tout ce que je sentais et en cherchant à le représenter avec des signes, des traces et des couleurs.” (MLD)
