SWIFT (Jonathan). Le Conte du tonneau, contenant tout ce que les arts et les sciences ont de plus sublime et de plus mystérieux
SWIFT (Jonathan). Le Conte du tonneau, contenant tout ce que les arts et les sciences ont de plus sublime et de plus mystérieux. Lausanne, Genève, Marc-Michel Bousquet & Comp., 1742; 3 vol. in-12, cuir de Russie écarlate, encadrement de motifs dorés sur les plats, dos à nerfs orné de motifs dorés, tranches dorées, [rel. de l’époque].
€250-350
Édition ornée de 8 belles figures d’Andreas Reinhardt gravées sur cuivre.
L’Édition originale parut en 1704 et la première traduction française en 1721.
Quelques légères rousseurs. Des figures un pue courtes en pied (sans atteinte au motif), quelques-unes d’un tirage un peu terne. Une coiffe arasée, sinon bel exemplaire.
Cohen ne cite pas cette édition. Graesse, VI, 535.
Édition ornée de 8 belles figures d’Andreas Reinhardt gravées sur cuivre.
L’Édition originale parut en 1704 et la première traduction française en 1721.
Quelques légères rousseurs. Des figures un pue courtes en pied (sans atteinte au motif), quelques-unes d’un tirage un peu terne. Une coiffe arasée, sinon bel exemplaire.
Cohen ne cite pas cette édition. Graesse, VI, 535.
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SWIFT (Jonathan). Le Conte du tonneau, contenant tout ce que les arts et les sciences ont de plus sublime et de plus mystérieux. Lausanne, Genève, Marc-Michel Bousquet & Comp., 1742; 3 vol. in-12, cuir de Russie écarlate, encadrement de motifs dorés sur les plats, dos à nerfs orné de motifs dorés, tranches dorées, [rel. de l’époque].
€250-350
Édition ornée de 8 belles figures d’Andreas Reinhardt gravées sur cuivre.
L’Édition originale parut en 1704 et la première traduction française en 1721.
Quelques légères rousseurs. Des figures un pue courtes en pied (sans atteinte au motif), quelques-unes d’un tirage un peu terne. Une coiffe arasée, sinon bel exemplaire.
Cohen ne cite pas cette édition. Graesse, VI, 535.
Édition ornée de 8 belles figures d’Andreas Reinhardt gravées sur cuivre.
L’Édition originale parut en 1704 et la première traduction française en 1721.
Quelques légères rousseurs. Des figures un pue courtes en pied (sans atteinte au motif), quelques-unes d’un tirage un peu terne. Une coiffe arasée, sinon bel exemplaire.
Cohen ne cite pas cette édition. Graesse, VI, 535.
