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1955 Mercedes-Benz 300 SL "Papillon" No reserve

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1955 Mercedes-Benz 300 SL "Papillon" No reserve• Restauration magnifique par Paul Russell
• Equipée de rares jantes Rudge chromées à fixation centrale d’origine
• Mécanique d'origine, historique connu
• Magnifique combinaison de couleurs
• Sans réserve

Châssis tubulaire, moteur 6-cylindres à injection directe, carter sec, freins ailetés Alfin, roues indépendantes, carrosserie profilée, la Mercedes 300 SL est née de la course automobile. Merveilleuse trouvaille, les portes "papillon" qui vont lui donner son nom ne répondent pas à un subterfuge esthétique, mais à la structure du châssis qui monte haut sur les côtés pour la meilleure rigidité possible. Ce qui était une contrainte se transforme en une des caractéristiques qui vont faire de cette voiture une légende : elle le mérite et les amateurs ne vont pas s'y tromper. Après sa présentation en 1954 au Salon de New York, la liste des acheteurs de la nouvelle Mercedes sont un véritable "Who's Who" des célébrités de l'époque : Pablo Picasso, le Shah d'Iran, le prince Ali Khan, Clark Gable, Tony Curtis, le roi Hussein de Jordanie... sans parler d'amateurs d'automobiles comme Luigi Chinetti ou Briggs Cunningham. En 1956, il faut débourser 5,4 millions de francs pour une 300 SL, contre 1,6 million pour une Porsche 356 1600 Super. Quant aux performances, elles font de la 300 SL une dominatrice absolue sur la route. A l'époque, rares sont celles qui dépassent 230 km/h en toute sécurité et qui couvrent le 0 à 100 km/h en moins de 9 secondes. Ce qui fera dire au magazine "Auto Sport" : "La ligne de la 300 SL est fabuleuse et ses performances presque incroyables", exemple parmi tant d'autres des propos dithyrambiques ayant accompagné l'arrivée de la 300 SL sur les routes d'Europe et des États-Unis. Ses titres de Championne d'Europe des Rallyes en 1955 et 1956 contribueront à établir son aura en course.

Sortie d'usine le 18 août 1955, la Mercedes 300 SL "papillon" que nous présentons a fait l'objet de la commande numéro 759 097. Elle était de couleur blanche (code DB 50) et fait donc partie des 152 exemplaires livrés dans cette teinte, sur les 1 400 coupés 300 SL produits. De plus, elle bénéficiait de l'option des cinq jantes Rudge à fixation centrale qui n'a concerné d'origine que moins de 400 exemplaires. Et qui est encore plus introuvable dans le cas des jantes chromées, équipement particulièrement rare, surtout apprécié des clients américains. Rappelons que la 300 SL exposé au Salon de New York 1954 était doté de ces mêmes jantes chromées.
Le 23 août 1955, cette 300 SL "Papillon" a été embarquée pour les États-Unis pour être livrée à Mercedes-Benz Distributors Inc., à New-York.
Au milieu des années 60, elle était localisée en Floride et ses propriétaires successifs ont été identifiés par le spécialiste Éric Lemoine, comme suit : J. K. Klein, Miami Lakes (Floride) en 1977 ; Robert Dunigan, San Jose (Californie) en 1985 ; Terrel Sarkis (Massachusetts) en 1995 ; Alex Dearborn, Topsfield (Massachusetts) en 1999 ; Dick Gale, San Francisco (Californie) en 2000, puis son fils Richard Gale en 2009.
A partir de 1985, alors qu’elle appartenait à M. Sarkis, elle a fait l'objet d'une restauration complète sur plusieurs années, par "Gullwing Service Company", à Essex, premier atelier de restauration créé par le talentueux Paul Russell. L’ensemble des factures de la restauration a été réunis dans un livre relié du plus bel effet. Rappelons que celui-ci fait partie des maisons de restauration les plus réputés des États-Unis et que la première voiture à laquelle il s'est intéressé était justement la Mercedes 300 SL "Papillon", d'où le nom de son atelier. Il compte des quantités de récompenses décrochées lors des concours d'élégance les plus réputés, mais ne s'attache pas qu'aux aspects esthétiques, comme il le précise lui-même : "Une voiture ne doit pas se contenter d'avoir belle allure, elle doit aussi fonctionner correctement. Nous sommes extrêmement satisfaits lorsque nous parvenons à préserver une voiture ancienne à son meilleur niveau, tant de performances que de beauté."

C'est de ces services de grande réputation dont a bénéficié la présente 300 SL, avec une remise en état extrêmement soignée. A cette occasion, elle a été repeinte de couleur noire (code DB 40) et a reçu une sellerie en cuir rouge (code 1079) de toute beauté. Au cours des dix années suivantes, elle n'a parcouru que 758 miles (1 220 km).
Le 3 avril 2011, elle a été importée en Suède puis immatriculée le 9 juin au nom de Staffan Wittmark. Depuis, elle a passé sans problème les contrôles techniques en 2013 et 2016.
Aujourd'hui, elle se présente dans un état exceptionnel car la restauration n'a absolument pas souffert des années qui se sont écoulées. Elle ne montre qu'une très légère patine qui contribue à son charme, et le mariage du noir de la carrosserie et du rouge de la sellerie lui apporte une classe inégalable. A l'intérieur, la planche de bord en tôle peinte noire entourée des bourrelets rouges et surmontée d'un ciel de toit beige dégage un effet saisissant. La voiture est en outre équipée de deux valises adaptées au compartiment placé derrière les sièges, et qui sont sans doute les bagages d'origine. Le compartiment moteur est d'une propreté impeccable, qui fait honneur au 6-cylindres incliné conçu pour la compétition, avec son système d'injection. A l'extérieur, les jantes Rudge chromées constituent un magnifique contraste esthétique avec la peinture noire et rappellent l'exclusivité de la finition de cette voiture.
Cette 300 SL "papillon" est accompagnée d'un livre qui en retrace l'histoire au travers de très nombreuses factures et documents. Elle constitue l'occasion d'acquérir un des plus beaux exemplaires disponibles de cette grande classique, pierre angulaire de l'histoire de Mercedes après-guerre et modèle sur lequel la marque a confirmé sa réputation internationale combinant sport, luxe et prestige.

Swedish title
Chassis no. 198.040 5500641
Engine no. 198.980 5500663

• Magnificently restored by Paul Russell
• Fitted with the rare Rudge chrome centre-lock wheels from new
• Original engine, known history
• Superb colour combination
• No reserve

With its tubular chassis, direct-injection six-cylinder engine with dry sump lubrication, finned Alfin brakes, independent suspension and streamlined body, the Mercedes 300 SL had its origins in racing. A stroke of inspiration, the ‘gullwing’ doors which gave the car its name were not just for show, but resulted from the structure of the chassis, which extended up the sides for maximum strength. What began as a constraint became one of the characteristics which made this car a legend, and deservedly so; enthusiasts recognised it for what it was. After its presentation at the New York Auto Show in 1954, the list of customers for the new Mercedes read like a veritable ‘Who’s Who’ of the celebrities of the time: Pablo Picasso, the Shah of Iran, Prince Ali Khan, Clark Gable, Tony Curtis, King Hussein of Jordan ... Not to mention car enthusiasts such as Luigi Chinetti or Briggs Cunningham. In 1956, a 300 SL cost 5.4 million francs in France, compared with 1.6 million for a Porsche 356 1600 Super. As for its performance, it outclassed absolutely everything on the road. At the time, few cars could exceed 230kph in complete safety and accelerate from 0-100kph in less than 9 seconds, prompting the magazine Auto Sport to say: “The 300 SL has fantastic styling and almost unbelievable performance”. It was just one example of the rave reviews the 300 SL received when it arrived on the roads of Europe and the States. Its European Rally Championship titles in 1955 and 1956 contributed to building the aura around it in racing.

The Mercedes 300 SL ‘Gullwing’ we are presenting left the factory on 18 August 1955, with the order number 759 097. It was finished in white (code DB 50), one of the 152 cars in this colour out of the 1,400 300 SL coupés built. In addition, it had the optional set of five Rudge centre-lock wheels, which were fitted to fewer than 400 examples from new. It is even harder to find an example with chrome wheels, a particularly rare item of equipment which was above all prized by American buyers. Indeed, the 300 SL shown at the 1954 New York Auto Show was fitted with the very same chrome wheels.
On 23 August 1955, this 300 SL ‘Gullwing’ was shipped to the USA, to be delivered to Mercedes-Benz Distributors Inc. in New York.
In the mid-1960s, it was located in Florida, and the specialist Éric Lemoine has identified its successive owners as follows: J. K. Klein, Miami Lakes (Florida) in 1977; Robert Dunigan, San Jose (California) in 1985; Terrel Sarkis (Massachusetts) in 1995; Alex Dearborn, Topsfield (Massachusetts) in 1999; Dick Gale, San Francisco (California) in 2000, then his son Richard Gale in 2009.
From 1985, when it belonged to Mr Sarkis, it was completely restored over several years by the Gullwing Service Company in Essex, the first restoration workshop set up by the talented Paul Russell. All the restoration invoices have been compiled in a beautifully bound book. This was one of the most renowned restoration firms in the States, and the first car in which Russell took an interest was none other than the Mercedes 300 SL ‘Gullwing’, hence the name of his workshop. Russell has racked up a huge number of awards at the most prestigious concours d’élégance, but does not concern himself solely with matters of aesthetics. In his own words: “It is not enough for a car to look good, it has to work properly as well. We are extremely satisfied when we succeed in preserving an old car at its best, in terms of its performance as well as its beautiful appearance.”

Drawing on his esteemed services, the 300 SL underwent a meticulous restoration. As part of this, it was repainted in black (code DB 40) and trimmed in exquisite red leather upholstery (code 1079). During the next ten years, it covered only 758 miles (1220km).
On 3 April 2011, it was imported...

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Time, Location
09 May 2024
Monaco, Monte Carlo
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1955 Mercedes-Benz 300 SL "Papillon" No reserve• Restauration magnifique par Paul Russell
• Equipée de rares jantes Rudge chromées à fixation centrale d’origine
• Mécanique d'origine, historique connu
• Magnifique combinaison de couleurs
• Sans réserve

Châssis tubulaire, moteur 6-cylindres à injection directe, carter sec, freins ailetés Alfin, roues indépendantes, carrosserie profilée, la Mercedes 300 SL est née de la course automobile. Merveilleuse trouvaille, les portes "papillon" qui vont lui donner son nom ne répondent pas à un subterfuge esthétique, mais à la structure du châssis qui monte haut sur les côtés pour la meilleure rigidité possible. Ce qui était une contrainte se transforme en une des caractéristiques qui vont faire de cette voiture une légende : elle le mérite et les amateurs ne vont pas s'y tromper. Après sa présentation en 1954 au Salon de New York, la liste des acheteurs de la nouvelle Mercedes sont un véritable "Who's Who" des célébrités de l'époque : Pablo Picasso, le Shah d'Iran, le prince Ali Khan, Clark Gable, Tony Curtis, le roi Hussein de Jordanie... sans parler d'amateurs d'automobiles comme Luigi Chinetti ou Briggs Cunningham. En 1956, il faut débourser 5,4 millions de francs pour une 300 SL, contre 1,6 million pour une Porsche 356 1600 Super. Quant aux performances, elles font de la 300 SL une dominatrice absolue sur la route. A l'époque, rares sont celles qui dépassent 230 km/h en toute sécurité et qui couvrent le 0 à 100 km/h en moins de 9 secondes. Ce qui fera dire au magazine "Auto Sport" : "La ligne de la 300 SL est fabuleuse et ses performances presque incroyables", exemple parmi tant d'autres des propos dithyrambiques ayant accompagné l'arrivée de la 300 SL sur les routes d'Europe et des États-Unis. Ses titres de Championne d'Europe des Rallyes en 1955 et 1956 contribueront à établir son aura en course.

Sortie d'usine le 18 août 1955, la Mercedes 300 SL "papillon" que nous présentons a fait l'objet de la commande numéro 759 097. Elle était de couleur blanche (code DB 50) et fait donc partie des 152 exemplaires livrés dans cette teinte, sur les 1 400 coupés 300 SL produits. De plus, elle bénéficiait de l'option des cinq jantes Rudge à fixation centrale qui n'a concerné d'origine que moins de 400 exemplaires. Et qui est encore plus introuvable dans le cas des jantes chromées, équipement particulièrement rare, surtout apprécié des clients américains. Rappelons que la 300 SL exposé au Salon de New York 1954 était doté de ces mêmes jantes chromées.
Le 23 août 1955, cette 300 SL "Papillon" a été embarquée pour les États-Unis pour être livrée à Mercedes-Benz Distributors Inc., à New-York.
Au milieu des années 60, elle était localisée en Floride et ses propriétaires successifs ont été identifiés par le spécialiste Éric Lemoine, comme suit : J. K. Klein, Miami Lakes (Floride) en 1977 ; Robert Dunigan, San Jose (Californie) en 1985 ; Terrel Sarkis (Massachusetts) en 1995 ; Alex Dearborn, Topsfield (Massachusetts) en 1999 ; Dick Gale, San Francisco (Californie) en 2000, puis son fils Richard Gale en 2009.
A partir de 1985, alors qu’elle appartenait à M. Sarkis, elle a fait l'objet d'une restauration complète sur plusieurs années, par "Gullwing Service Company", à Essex, premier atelier de restauration créé par le talentueux Paul Russell. L’ensemble des factures de la restauration a été réunis dans un livre relié du plus bel effet. Rappelons que celui-ci fait partie des maisons de restauration les plus réputés des États-Unis et que la première voiture à laquelle il s'est intéressé était justement la Mercedes 300 SL "Papillon", d'où le nom de son atelier. Il compte des quantités de récompenses décrochées lors des concours d'élégance les plus réputés, mais ne s'attache pas qu'aux aspects esthétiques, comme il le précise lui-même : "Une voiture ne doit pas se contenter d'avoir belle allure, elle doit aussi fonctionner correctement. Nous sommes extrêmement satisfaits lorsque nous parvenons à préserver une voiture ancienne à son meilleur niveau, tant de performances que de beauté."

C'est de ces services de grande réputation dont a bénéficié la présente 300 SL, avec une remise en état extrêmement soignée. A cette occasion, elle a été repeinte de couleur noire (code DB 40) et a reçu une sellerie en cuir rouge (code 1079) de toute beauté. Au cours des dix années suivantes, elle n'a parcouru que 758 miles (1 220 km).
Le 3 avril 2011, elle a été importée en Suède puis immatriculée le 9 juin au nom de Staffan Wittmark. Depuis, elle a passé sans problème les contrôles techniques en 2013 et 2016.
Aujourd'hui, elle se présente dans un état exceptionnel car la restauration n'a absolument pas souffert des années qui se sont écoulées. Elle ne montre qu'une très légère patine qui contribue à son charme, et le mariage du noir de la carrosserie et du rouge de la sellerie lui apporte une classe inégalable. A l'intérieur, la planche de bord en tôle peinte noire entourée des bourrelets rouges et surmontée d'un ciel de toit beige dégage un effet saisissant. La voiture est en outre équipée de deux valises adaptées au compartiment placé derrière les sièges, et qui sont sans doute les bagages d'origine. Le compartiment moteur est d'une propreté impeccable, qui fait honneur au 6-cylindres incliné conçu pour la compétition, avec son système d'injection. A l'extérieur, les jantes Rudge chromées constituent un magnifique contraste esthétique avec la peinture noire et rappellent l'exclusivité de la finition de cette voiture.
Cette 300 SL "papillon" est accompagnée d'un livre qui en retrace l'histoire au travers de très nombreuses factures et documents. Elle constitue l'occasion d'acquérir un des plus beaux exemplaires disponibles de cette grande classique, pierre angulaire de l'histoire de Mercedes après-guerre et modèle sur lequel la marque a confirmé sa réputation internationale combinant sport, luxe et prestige.

Swedish title
Chassis no. 198.040 5500641
Engine no. 198.980 5500663

• Magnificently restored by Paul Russell
• Fitted with the rare Rudge chrome centre-lock wheels from new
• Original engine, known history
• Superb colour combination
• No reserve

With its tubular chassis, direct-injection six-cylinder engine with dry sump lubrication, finned Alfin brakes, independent suspension and streamlined body, the Mercedes 300 SL had its origins in racing. A stroke of inspiration, the ‘gullwing’ doors which gave the car its name were not just for show, but resulted from the structure of the chassis, which extended up the sides for maximum strength. What began as a constraint became one of the characteristics which made this car a legend, and deservedly so; enthusiasts recognised it for what it was. After its presentation at the New York Auto Show in 1954, the list of customers for the new Mercedes read like a veritable ‘Who’s Who’ of the celebrities of the time: Pablo Picasso, the Shah of Iran, Prince Ali Khan, Clark Gable, Tony Curtis, King Hussein of Jordan ... Not to mention car enthusiasts such as Luigi Chinetti or Briggs Cunningham. In 1956, a 300 SL cost 5.4 million francs in France, compared with 1.6 million for a Porsche 356 1600 Super. As for its performance, it outclassed absolutely everything on the road. At the time, few cars could exceed 230kph in complete safety and accelerate from 0-100kph in less than 9 seconds, prompting the magazine Auto Sport to say: “The 300 SL has fantastic styling and almost unbelievable performance”. It was just one example of the rave reviews the 300 SL received when it arrived on the roads of Europe and the States. Its European Rally Championship titles in 1955 and 1956 contributed to building the aura around it in racing.

The Mercedes 300 SL ‘Gullwing’ we are presenting left the factory on 18 August 1955, with the order number 759 097. It was finished in white (code DB 50), one of the 152 cars in this colour out of the 1,400 300 SL coupés built. In addition, it had the optional set of five Rudge centre-lock wheels, which were fitted to fewer than 400 examples from new. It is even harder to find an example with chrome wheels, a particularly rare item of equipment which was above all prized by American buyers. Indeed, the 300 SL shown at the 1954 New York Auto Show was fitted with the very same chrome wheels.
On 23 August 1955, this 300 SL ‘Gullwing’ was shipped to the USA, to be delivered to Mercedes-Benz Distributors Inc. in New York.
In the mid-1960s, it was located in Florida, and the specialist Éric Lemoine has identified its successive owners as follows: J. K. Klein, Miami Lakes (Florida) in 1977; Robert Dunigan, San Jose (California) in 1985; Terrel Sarkis (Massachusetts) in 1995; Alex Dearborn, Topsfield (Massachusetts) in 1999; Dick Gale, San Francisco (California) in 2000, then his son Richard Gale in 2009.
From 1985, when it belonged to Mr Sarkis, it was completely restored over several years by the Gullwing Service Company in Essex, the first restoration workshop set up by the talented Paul Russell. All the restoration invoices have been compiled in a beautifully bound book. This was one of the most renowned restoration firms in the States, and the first car in which Russell took an interest was none other than the Mercedes 300 SL ‘Gullwing’, hence the name of his workshop. Russell has racked up a huge number of awards at the most prestigious concours d’élégance, but does not concern himself solely with matters of aesthetics. In his own words: “It is not enough for a car to look good, it has to work properly as well. We are extremely satisfied when we succeed in preserving an old car at its best, in terms of its performance as well as its beautiful appearance.”

Drawing on his esteemed services, the 300 SL underwent a meticulous restoration. As part of this, it was repainted in black (code DB 40) and trimmed in exquisite red leather upholstery (code 1079). During the next ten years, it covered only 758 miles (1220km).
On 3 April 2011, it was imported...

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09 May 2024
Monaco, Monte Carlo
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